1. Emois à trois (1)


    Datte: 21/08/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... ça ! Fourre là je te dis ! Je veux te voir en elle ». Je fus un instant déstabilisé par sa crise et perturbé par ses mots. Mais dans la seconde qui suivi, ils raisonnèrent comme des appels à la luxure et à la dépravation ne faisant que renforcer mon désir. Je me penchai sur toi, et embrassai frénétiquement l’intérieur de tes cuisses que tu écartais ostensiblement en réponse, manifestement aussi excitée que chacun de nous par la situation. Mes baisers remontèrent jusqu’à ton sexe ruisselant de cyprine. Je l’écartai, et m’appliquai à le nettoyer méthodiquement, introduisant ma langue dans chaque sillon de tes lèvres, et l’introduisant dans ton vagin tandis que mon pouce excitait sans vergogne ton clitoris. Pendant que je te dévorais, Christian s’installa à califourchon sur tes seins, puis d’un mouvement pénétra ta bouche. — « Suce-moi » Tu l’accueillis docilement. J’imaginais ta langue tournant autour de son gland, comme une esclave sexuelle ; Tu étais en transe, totalement dépossédée de ton identité, mue en une putain accroc à jouir de son corps. Une formidable bosse déformait mon maillot et je mouillais comme un fou. Je m’en débarrassai à mon tour, puis me glissait en travers du lit sous tes cuisses, pour présenter mon gland devant ta chatte. Pendant quelques instants, je frottai ta fente de ma queue dure comme le bois, mais te sentant te cambrer pour que je m’introduise, je m’enfilai de suite en toi. Je sentais la chaleur douce de ton sexe m’accueillir, tes lèvres ...
    ... s’écarter, épousant mon pieu qui continua à disparaître au plus profond de toi. Je me sentais divinement bien, ta chaleur m’envahissait, ton sexe infiniment doux me serrait parfaitement. Tu manifestas ton plaisir par de petits mouvements de bassins qui me procuraient des sensations indescriptibles, m’appelant à aller et venir sans délai. Christian se retourna et me regarda longuement te posséder. Son regard exprimait la convoitise, son instinct primaire de reproducteur avait pris le pas sur celui du conjoint policé. Tes lèvres peinaient à s’affairer sur sa queue, perturbée par les explosions en chaînes qui commençaient à enflammer tout ton bas ventre. Le plaisir martelait tes entrailles sans répit, ton cœur battait à tout rompre, ton visage s’empourprait grimaçant sous les coups de boutoir de ma queue qui te fouillait à présent sans vergogne. Christian fit glisser ses doigts sur ton clitoris qu’il martyrisa pendant que je te baisais ce qui te fit subitement basculer. Tu lui labouras les hanches, tes cuisses se serrèrent sur moi et m’emprisonnèrent avec ton premier orgasme qui venait d’exploser. Je restai sans bouger quelques instants, accueillant tes spasmes et tes contractions avec bonheur avant de me retirer face à la convoitise de Christian. Il attrapa aussitôt tes fesses et sans ménagement, il te retourna en levrette et s’introduisit en toi : — « viens ! allez ! ». En t’enfourchant ainsi, tes seins se mirent à ballotter au rythme de ses grands coups de boutoirs. Les claques ...
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