Agnès
Datte: 13/04/2019,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
amour,
volupté,
photofilm,
Oral
pénétratio,
mélo,
... encore rien vu. C’est mon tour, maintenant ! Avec une lenteur infinie, elle défit, l’un après l’autre, les boutons de ma chemise, la sortit de mon pantalon, en écarta les pans pour plonger ses doigts dans la fine toison de mon torse avec un roucoulement appréciateur. Le contact de ses doigts était électrisant et elle s’en rendit compte, promenant ses mains sur mon ventre, mes côtes, mon dos. J’avais fermé les yeux, me concentrant sur ces sensations extraordinaires. Elle défit ma ceinture, laissant glisser mon jeans. Elle baissa mon slip avant de me pousser, doucement, sur le matelas. Elle acheva de me débarrasser de mes vêtements et, s’agenouillant, m’enjamba, pour s’asseoir sur mes cuisses. J’entrouvris les yeux, pour assister à son déshabillage. — Tu connais déjà par cœur. Tu ne te souviens pas, avec toutes photos que tu as faites ?— Je ne m’en lasse pas… Elle sourit. — Vil flatteur. Elle avait jeté loin d’elle son chemisier et dégrafait son soutien-gorge noir, qui avait déjà enflammé mon imagination lors de notre première séance photo, parce qu’il s’ouvrait par-devant. Ses seins jaillirent et je ne pus m’empêcher de vouloir les toucher, mais Agnès retint mes mains. — Chhhhtttt. Laisse-toi faire… Elle se pencha sur moi et je refermai les yeux. L’instant d’après, je sentais le bout de ses seins caresser ma poitrine, empruntant les mêmes itinéraires que ses doigts auparavant. Je crus que j’allais exploser. Mes mains saisirent ses épaules et je l’attirai sur moi. ...
... Déséquilibrée, elle tomba et je l’embrassai à nouveau. Nous roulâmes sur le côté et je me retrouvai au-dessus d’elle. Agnès se débattait, m’opposait une résistance farouche. Elle grognait, soufflait, haletait, bien décidée à reprendre le contrôle des opérations. Elle reprit le dessus, mais je parvins à lui maintenir les poignets d’une main, alors que de l’autre, je dégrafai son pantalon - pantalon qui lui collait au corps et j’eus plus le sentiment de l’éplucher que de la déshabiller. Le combat fut long et si Agnès n’avait pas relâché finalement son ardeur, il aurait duré toute la nuit. Elle roula sur le ventre et souffla, haletante : — C’est bon, tu as gagné… Je me rends… Je contemplai un instant ce dos superbe, moite de sueur, ces fesses appétissantes qu’un minuscule slip, assorti au soutien, soulignait plus qu’il ne les habillait. Mes doigts accrochèrent l’élastique et je lui dis, provocant : — Prouve-le. Docilement, elle souleva les hanches et je fis glisser le long de ses jambes le dernier rempart de sa nudité insolente. Mes lèvres et mes mains caressèrent ses chevilles, ses mollets, remontant là où le slip était descendu. Je la sentis tressaillir et soupirer d’aise. Arrivé en haut des cuisses, je couvris ses fesses de baisers, ce qui lui arracha de petits gloussements indistincts, parce qu’elle avait enfoui son visage dans l’oreiller. J’avais plongé mes dents dans la chair tendre. Elle s’était raidie, attendant la suite - trop longtemps : elle ne put m’empêcher de lui appliquer un ...