1. Agnès


    Datte: 13/04/2019, Catégories: fh, Collègues / Travail amour, volupté, photofilm, Oral pénétratio, mélo,

    ... magnifique suçon. Doucement, je la retournai, la couchant sur le dos, bien au milieu du matelas, reculant ensuite pour m’agenouiller entre ses pieds. Intriguée, elle me regarda, avec un sourire indécis. — Et… ? Le vainqueur contemple sa proie… ? Le calme avant le viol… ? Je plongeai mon regard dans le sien. — Tu as peur ? Son visage devint grave. Son sourire s’estompa et moins par défi que par confiance, soutenant mon regard, elle répondit : — Non. J’avançai entre ses jambes la forçant à les écarter au fur et à mesure que je me rapprochai d’elle et révélant aussi son sexe humide de désir. Je passai mes bras sous ses genoux, soulevant ses jambes, attrapai ses cuisses et, sans la quitter des yeux, attirai d’un geste brusque son corps vers moi. Je l’avais sentie se raidir instantanément, jetant la tête en arrière et fermant les yeux. C’est à ce moment que j’avais plongé la tête entre ses jambes, et ma langue visait déjà son clitoris, gonflé et luisant, que je ne pouvais rater. Elle ne s’attendait pas à cela et son corps, déjà tendu, fut secoué d’un spasme violent, comme sous l’effet d’une décharge électrique. Elle hoqueta, tenta de respirer et son appel d’air se finit dans un feulement. Elle essaya de reculer, de soustraire son bassin à la caresse. — Non ! Pas ça ! Tu es un sadique ! Mais l’instant d’après, ses mains emprisonnaient ma tête, la pressant contre son bas-ventre avec une force inouïe. Ma langue continuait d’explorer son vagin qui s’ouvrait comme une fleur, tantôt ...
    ... suivant le tracé des lèvres, tantôt s’immisçant dans la fente trempée. Elle me relâcha enfin et je pus respirer. J’entendis ses ongles s’enfoncer dans les draps et sa respiration s’accélérer. Elle s’était redressée sur les pieds, poussant son entrejambe à ma rencontre. Ses cuisses enserraient ma tête et je sentais tout son corps trembler, des tremblements incontrôlés, aussi incontrôlés que sa respiration haletante. Elle se mit à émettre des sons indéfinissables qui semblaient provenir du plus profond de sa gorge, son corps s’arc-bouta, la pression de ses cuisses sur mes oreilles devint presque insupportable. Soudain elle poussa un long gémissement et retomba, inerte. Nous sommes restés un moment ainsi. Elle, délicieusement abandonnée, moi, couché entre ses jambes, la tête posée sur son ventre, grisé par l’odeur enivrante de son foutre, caressant son corps merveilleusement détendu. Sa voix m’arracha à ma rêverie : — Tu es décidément un conquérant impitoyable : tu n’arrêtes que lorsque ton adversaire est à terre… J’avais trouvé l’image cocasse et ne pus m’empêcher de sourire. Me redressant, je l’ai regardée. — Disons que lorsque j’entreprends quelque chose, je vais jusqu’au bout… J’ai remonté doucement jusqu’à elle, couvrant son ventre de baisers, plongeant ma langue dans son nombril. Les nerfs encore à fleur de peau, elle sursautait à chaque fois, fermant les yeux. Elle n’avait pas remarqué qu’en rampant de la sorte, mes hanches avaient écarté ses cuisses encore davantage et que ...
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