1. Un mariage malheureux


    Datte: 19/04/2019, Catégories: fh, jeunes, amour, historique, historiqu,

    ... cela fut différent avec le duc de Montignac est un euphémisme. Le duc ne prit aucun soin d’elle et ne prit pas le temps de découvrir son corps. Lui soulevant la robe de mariée avec rudesse, il la pénétra violemment avec son sexe en érection qui était d’une taille monstrueuse. Le duc ne se souciait aucunement de faire souffrir sa nouvelle épouse du moment qu’il était lui-même satisfait. Louise pleurait de douleur et hurlait au duc d’arrêter mais ses cris semblaient exciter encore davantage son mari qui prenait un immense plaisir à traiter sa nouvelle épouse comme la dernière des putains. Louise avait l’impression d’être violée et fit tout pour se défendre. Seulement elle était infiniment plus légère et moins puissante que le duc qui se trouvait sur elle et ne pouvait le repousser. Elle décida alors de griffer violemment au visage l’homme qui la traitait si mal pour lui faire relâcher son étreinte et le duc de Montignac, encore bandant et n’ayant pas assouvi ses pulsions, dut se retirer après avoir poussé un cri de douleur. Son visage était déformé non tant par la douleur, mais surtout par la douleur et par l’humiliation. Il envoya une gifle retentissante à Louise qui la laissa interdite et laissa une grande marque rouge sur sa peau laiteuse de blonde. — Que m’avez-vous fait, espèce de petite catin ? dit-il alors furieux à son épouse. Comment avez-vous osé frapper l’homme que vous venez d’épouser ?— Je n’ai fait que me défendre contre mon nouvel époux qui me traitait de la ...
    ... pire des manières imaginables, et si vous ne vous sentez pas coupable, vous êtes un véritable monstre et j’ai fait une grande erreur en acceptant de devenir votre femme.— Parce que vous pensiez peut-être que je vous avais épousée pour vous lancer de doux regards d’amoureux éperdu, vous baiser les pieds, vous chanter des sérénades et vous couvrir de présents ? Non, je n’ai pris une femme que pour pouvoir la posséder quand je veux en évitant toutes ces ridicules affectations héritées des précieuses du siècle passé. Si vous pensiez avoir épousé un doux galant musqué, je pense vous avoir assez bien détrompée. En tant qu’homme de guerre, je pense qu’une femme, comme une ville, doit être prise de force et que toute résistance doit être matée dans la violence et le sang.— Vous voulez donc vous battre ? dit Louise. À votre guise, mais n’espérez pas me vaincre facilement.— À votre guise, mais je vous préviens que vous serez bientôt mienne. J’ai réussi à attirer dans mon lit les plus nobles dames de notre royaume ; une petite boutiquière comme vous ne m’impressionne nullement. Vous serez mienne, vous dis-je, et plus tôt que vous ne le pensez. Ayant dit ces mots, le duc de Montignac sortit et ferma la porte avec violence. Quelques heures après son mariage, la malheureuses Louise avait grande envie de se séparer de son époux, mais elle savait que c’était parfaitement impossible. La seule chose qu’elle pouvait faire était contraindre son époux à mieux la traiter et elle était prête, pour ...
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