Le club des nymphes - tome II (24)
Datte: 26/04/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... longue avant que n’arrive mon ange. Je l’entends quelques minutes après que ma mère est sortie pour faire des courses. Du haut de l’escalier, j’entends sa voix qui salue mon père. Je me précipite dans ma chambre et attends avec hâte qu’elle monte me rejoindre. Après un quart d’heure, toujours rien. Habituellement, elle vient quasiment tout de suite. Agacé, je décide de découvrir ce qui la retient si longtemps. Je descends les escaliers. Elle n’est pas dans le salon, ni dans la salle à manger ou la cuisine. La bibliothèque est vide aussi. Il ne reste plus que le bureau de mon père. J’ouvre la porte et entre dans la pièce. Nouvelle douche froide ! Elle est allongée, ventre sur le sofa, jupe retroussée, seins à l’air. Mon père, positionné au-dessus d’elle, est en train de lui emmancher sa bite dans le cul. Je pousse un cri de stupeur. Leurs yeux se tournent vers moi. Surpris, mon père se redresse, l’air assez énervé et commence à se rhabiller. — Putain, Nathan… Je t’ai déjà dit de frapper avant d’entrer dans mon bureau. — Non, non, non… commencé-je à pleurer, désespéré. Pourquoi ? — Pourquoi quoi ? Oh, ça ? comprend-t-il en désignant Nina du doigt. Ce n’est rien. — Tu me l’as prise, m’énervé-je. Tu me l’as prise ! — Arrête te faire ton gamin, Nathan. Je ne t’ai rien pris du tout. — Si ! hurlé-je de rage. Je l’aimais, et tu me l’as prise. Je te déteste ! Nina, qui s’est assise sur le sofa, explose de rire. Je le regarde, décontenancé. — Ha-ha-ha ! Tu es amoureux de moi ? ...
... demande-t-elle, hilare. Oh, comme c’est chou… Ha-ha-ha ! — Bon sang, Nathan, il est temps de grandir maintenant et d’arrêter de faire l’enfant. Je ne t’ai rien pris du tout. Bien au contraire, c’est moi qui te l’ai envoyée pour te dévergonder. Je voulais que tu deviennes enfin un homme, que tu arrêtes de te bercer d’illusions. — Quoi ? Mais alors ça veut dire que ce n’est pas la première fois que vous couchez ensemble ? demandé-je, complètement déboussolé. — Bien entendu que non. Pourquoi crois-tu que je l’ai engagée ? — Et maman ! crié-je. Tu as pensé à elle ? — Je vais t’expliquer ma philosophie, mon fils : je veux, je prends. Aucune femme n’a à me dire ce que je dois faire, encore moins ta mère. Tant qu’elle profite de mon fric, elle ferme sa gueule. C’est ça, se comporter en homme. Mes rêves, mes espoirs, mon bonheur de ces derniers jours, tout ça se brise comme un miroir après un coup de marteau. J’ai été con, crétin, idiot, débile de penser qu’une fille pouvait réellement tenir à moi. Non, encore une fois, ce n’est qu’une salope qui se fait troncher par mon père. Elle se foutait bien de moi ; elle ne vaut pas mieux que Maryline, cette garce. Ô rage ! Ô désespoir ! Ô pourriture infâme ! Ne suis-je qu’un jouet entre les doigts crochus des femmes ? Non, je refuse. Trop, c’est trop ! Je refuse de les laisser gagner. — Tu vois, fiston, continue mon père, la vie, c’est aussi simple que ça : tu veux, tu prends. Dis-moi maintenant, que veux-tu ? — Je… je veux son cul, sifflé-je après ...