Le club des nymphes - tome II (24)
Datte: 26/04/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... plusieurs minutes de réflexion. — Alors prends-le, fiston ! sourit-il. Déterminé, je m’avance vers elle tandis qu’elle se remet en position, prête à me recevoir. Je me déshabille et me positionne à califourchon au-dessus d’elle. Son anus est encore dilaté après le passage de mon père. Malgré ma colère, je suis dur comme de la roche. Mon gland installé à l’entrée du trou, je m’enfonce d’un coup sec. Nina lâche un cri surpris. « Je veux, je prends ! » : c’est vrai que c’est plutôt simple. Je prends donc possession de son fondement que je lime sans ménagement. — Oui, c’est ça, fiston ! m’encourage mon père. En voilà un homme ! En voilà un Craine ! Montre-lui qui est le patron. Montre-lui qui commande. Défonce-lui le cul ! Oui je suis un Craine. Nous sommes fiers, nous sommes forts, nous sommes riches. Personne ne nous dit ce qu’on doit faire. Je ne laisserai plus aucune femme avoir de l’emprise sur moi. J’en fais la promesse. Sous mes coups de queue qui lui malmènent la rondelle, la garce se met à geindre bruyamment. Mon père, ne restant pas inactif devant ce spectacle, s’avance, s’assoit au bord du sofa, libère son sexe bandé et l’enfonce dans la gorge de Nina. Elle ne proteste pas et se met à pomper voracement la bite paternelle. — Regarde comme elles aiment ça, ces petites salopes : deux bites pour la demoiselle, et la voilà heureuse. Elles ne sont jamais rassasiées. Elles font les timorées, mais une fois qu’elles comprennent qui est le chef, il ne reste plus que des ...
... débauchées prêtes à tout pour se faire saillir par leur mâle. Il lui appuie sur le crâne pour la forcer à prendre sa bite entièrement tandis qu’il donne de violents coups de bassin. Des glapissements étouffés émanent de la gorge de Nina. De mon côté, je pilonne toujours son fondement sans aucune considération pour elle. Je me fous du plaisir ou de la douleur que je lui procure. Je me préoccupe seulement de ma jouissance qui arrive à grand pas, et c’est en poussant un énorme cri de rage que j’explose à l’intérieur de son cul. *** — Bah alors, mon chéri, qu’est-ce qu’il y a ? Tu fais la tête ? Les vacances qui ont changé ma vie sont terminées. Je suis assis sur un banc dans la cour en train de fumer ma clope. Maryline, que j’ai évitée toute la matinée, commence à s’interroger sur mon attitude. Je la regarde du coin de l’œil et ne lui réponds pas. Elle semble surprise par mon attitude et finit par s’asseoir à côté de moi. gfgzzld — As-tu passé de bonnes vacances ? demande-t-elle. — Ouais, ça peut aller… fais-je, évasif. Je ne donne pas de détails car je sais bien qu’elle s’en fout complètement. Elle demande par politesse et dans le but que je l’interroge à mon tour sur les siennes. Je ferme ma gueule. Elle attend. — Moi aussi ça pouvait aller, même si le boulot était éreintant, finit-elle par céder. Ah, et puis on m’a tiré mon smartphone. Du coup, j’en ai plus et c’est la merde. — Bah, utilise l’argent que tu as gagné en bossant. — Je ne peux pas : il a fallu que je rembourse des sous ...