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À mer que veux-tu ! (1)
Datte: 22/08/2017, Catégories: Erotique,
... elle avait traversé ses pensées également, Claude d’un coup enfonça le clou amorcé durant le repas. — Finalement, nous sommes tout près de votre fameuse plage. On pourrait aller y faire un tour. De nuit, ça pourrait être sympa et nous deux nous pourrions rentrer à pied par la plage. Qu’en dites-vous ? — Ça me va… mais pour nos fringues ? — Bof ! Vous avez bien un sac à nous prêter, nous vous le rendrons demain… Tu as bien cela Jocelyne non ? Tu viens aussi avec nous ? Et vous Jean-Pierre ! Vous êtes de la balade également ? — Mais oui qu’il va venir… et puis après tout, c’est l’été non ! C’est plus facile de se dévêtir depuis… ici ! Vous repasserez chercher vos affaires et boire un verre ensuite ! Déjà elle avait joint le geste à la parole, sous le regard de son mari. Il avait le visage rouge, cramoisi. Il ne s’attendait pas à cela sans doute. Elle venait de relever son tee-shirt et un soutien-gorge coloré apparaissait à la vue de tous. Alors, Claude pour ne pas la laisser seule, fit passer par-dessus ses épaules son fin caraco. Elles se regardèrent une seconde et se tournant vers les deux mecs, se mirent à rire aux éclats. Si Michel était aussi hilare, Jean-Pierre quant à lui, s’en étranglait presque… de honte ! Michel estomaqué de voir les deux nanas se défringuer à vitesse grand « V » n’en restait pas moins hilare. Il jeta un coup d’œil vers l’avocat qui ne respirait pratiquement plus. Puis il lui mit la main sur l’épaule, et l’autre tressaillit. — On devrait peut-être ...
... les imiter sous peine d’avoir un air godiche, habillés devant deux belles femmes à poils. Qu’en penses-tu mon bon Jean-Pierre ? L’autre avait mis un moment pour que sa respiration reprenne un cours plus normal. Et c’était Jocelyne qui était simplement venue lui tirer sur le polo qu’il portait. Il leva les bras sans rajouter un mot. Puis elle dégrafa la ceinture du pantalon qu’il portait avec une sorte de soupir… — Ce n’est pas vrai… bon sang, pire que les gosses ! Il faut tout faire toute seule ici. — Mais… — Bon Dieu ! Personne ne va te bouffer parce que tu auras les fesses à l’air. Voyons, chouffe un peu autour de nous. Nos amis n’ont pas autant de complexes que toi. Il était en slip et tremblait pour de bon. Personne ne se préoccupait de sa honte. Finalement quand il fut lui aussi nu comme les autres, Jocelyne ouvrit la porte de Mobil-Home. — Bon ! Je ne ferme pas ! De toute façon, personne n’a de poche pour y loger la clé… Et elle se mit à rire de plus belle, suivie en cela par Claude. Les deux mecs sortir et filèrent le long du sentier qui donnait accès à la grande plage. Le sable fin coulait entre les orteils des uns et des autres. L’air était plus frais, mais le vent lui courait sur les cuisses et les corps nus. Un petit plaisir bien sibyllin qui pourtant était déjà un monstrueux effort pour le compagnon de la petite rousse. Et un peu en contre-bas, le bruit des vagues qui venaient mourir sur une langue de plage minuscule. La marée était à l’étal. Ils s’enfoncèrent dans ...