1. À mer que veux-tu ! (1)


    Datte: 22/08/2017, Catégories: Erotique,

    ... la nuit, Michel donnant la main à sa belle et marchant derrière le couple du camping. C’était encore la femme de ce duo qui se cramponnait au bras de son homme. Lui préférait sans doute être devant, ce qui lui épargnait des regards dont il se passait très bien. Mais les suiveurs eux en profitaient éhontément. Michel donnait de petites claques sur le derrière rebondi de sa brune. Et comme elle faisait mine de courir, il laissa cette patte frôler plus que nécessaire, la peau un peu trop blanche qui se déhanchait sur son aile droite. Personne n’était visible à cette heure tardive sur ce front de l’océan. Claude entra dans l’eau et Jocelyne à ses côtés fit de même. Michel ensuite se lança sans hésiter dans la noirceur du paysage liquide. Quand les trois-là se retournèrent, seule la silhouette de Jean-Pierre se découpait sur le ciel plus clair. — Alors ? Tu viens ou pas ? Tu comptes camper sur la grève ? Claude et Michel ne se souciaient déjà plus de ces deux amis qui visiblement n’avaient pas du tout une vision identique du monde. Si son mari plaignit cette rousse, il n’en fit nullement état. Non trop occupé à nager de concert avec sa belle, il se fichait éperdument de savoir si son collègue viendrait ou non les rejoindre. Quelques instants plus tard, trois points sombres flottaient comme des bouchons sur une nappe de vagues calmes. — Il ne nage pas très bien, vous savez ! — Ne t’excuse donc pas comme ça Jocelyne… c’est ton mari, il est grand et fait comme il l’entend. Nous ne ...
    ... lui en tenons pas rigueur. — Mon Dieu je t’assure que j’aimerais parfois qu’il ressemble à ton Michel… qu’il soit un peu plus souple, sur certaines choses parfois… —… ! Que répondre à cela ? Et son mari qui nageait deux mètres plus à droite, s’il entendait la conversation, se gardait bien de dire un mot. Claude d’une brasse se rapprocha et la rousse également nagea vers eux. Depuis quelques dizaines de mètres, les baigneurs nocturnes n’avaient plus pieds. La brune vint se frotter contre son Michel. Dans son élan, Jocelyne se trouva d’un coup, coincée entre les deux, et les mains qui pensaient frôler Claude étaient en fait sur l’épaule de son amie. La femme de Jean-Pierre frissonna sous cette caresse inattendue. Michel, la tête sous l’eau ne pouvait pas faire la différence, et si Claude avait entrevu l’erreur, ce qui n’était pas certain, elle non plus ne dissuada pas son époux de continuer. Du reste la patte folle avait dessiné sur la peau une agréable arabesque en direction d’un sein. Les doigts qui prenaient donc contact avec cette masse rose plongée entièrement dans le bain, d’un coup s’écartaient rapidement. La méprise devenait flagrante quand la pince formée par le pouce et l’index avait cueilli le téton. Celui-ci n’avait ni la longueur ni le diamètre que les doigts connaissaient. Mais il ne s’excusa pas et s’écarta sans bruit de ce corps qui n’avait rien de commun avec celui qu’il espérait. Merde… il venait de tripoter les seins de la rousse sans s’en rendre compte. Et ...
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