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À mer que veux-tu ! (1)
Datte: 22/08/2017, Catégories: Erotique,
... la part de son collègue. Si Claude sentit le désarroi de son amie, elle ne fit rien pour le partager. — Nous te souhaitons une bonne nuit ma belle. Tu embrasseras Jean-Pierre pour nous ! Nous allons rentrer par la plage et les dunes et ça fait un petit bout de chemin… mais il fait bon, ce soir — Bonne nuit à tous les deux Jocelyne ! Michel avait attrapé la main de sa compagne et il lui serrait les doigts, lui montrant de cette façon son impatience à quitter la maison sur roulettes. Il écourtait ostensiblement les effusions entre les deux nanas. L’air de la nuit fouetta leurs visages dès qu’ils eurent franchi les portes du terrain de camping. Immédiatement, ils bifurquèrent sur un autre sentier menant tout droit à la plage. Et tout là-bas, au fond, les lumières de Saint-Gilles et de Croix de vie étaient comme un point de mire pour leur retour. C’était agréable cette marche sous un ciel sombre, juste entouré d’une nappe qui bruissait délicatement et le sable de la grève était mouillé sous les pieds. Michel avait remis ses chaussures, lacées autour de son cou et il retira une nouvelle fois son pantalon. La jupe de Claude ne mouillerait pas si elle n’entrait pas dans les vagues. En caleçon et les guibolles dans l’eau de mer, il sifflotait. Sa brune, quant à elle s’agrippait à lui et ses doigts se crispaient dans sa pogne virile. Un long moment ils avancèrent vers ces rues enluminées. Puis la femme dévia sur la droite, vers la dune et les arbrisseaux dont elle était remplie. S’il ...
... ne comprenait pas le but de cette manœuvre, Michel la laissa faire néanmoins. Quand elle se jeta sur le sol en le cramponnant toujours par la patte, il saisit d’un coup qu’elle voulait peut-être… finalement le loup pourrait la manger ? Qui savait ? ktukcceh — Alors salaud, tu l’as tripotée ? Ça t’a plus hein mon cochon de lui passer la main sur les nichons ! Allons avoues le ! Nous sommes seuls dans ce coin paumé, tu peux tout me dire ! — Te dire quoi, il n’y a rien à ajouter à ce que je t’ai déjà dit. J’ai cru que c’était toi qui nageais près de moi et oui j’ai mis les mains sur… — Et c’était bien ? Bon ? Tu avais envie d’aller plus loin ? — C’était différent et j’ai vite retiré mes doigts, ce n’était pas du tout, mais alors pas du tout comme chez toi… — Quoi ? Comme chez moi, tu veux dire quoi par-là ? — Ses seins… enfin ce téton que j’ai touché par inadvertance… il n’avait rien des tiens, mon ange. — Ah ! Ah ! C’est pour cela que tu y reviens toujours alors ? — Pour cela et pour tout le reste, mais pas besoin de le dire pour que tu saches le pourquoi du comment. Elle venait de relever son visage vers celui de son mari. Visiblement, elle espérait bien un rapprochement de leurs lèvres et pour cela, il ne se fit pas prier. Elle adorait sentir sur sa bouche les lèvres de cet homme-là ! Son amour depuis des années. Et il n’avait jamais, au grand jamais failli. Il répondait toujours présent à la moindre de ses sollicitations. Alors quand sa langue fit le tour en maitresse de son ...