1. À mer que veux-tu ! (1)


    Datte: 22/08/2017, Catégories: Erotique,

    ... palais, elle se départit de toute retenue. Ses doigts cherchèrent et trouvèrent le paquet que le caleçon contenait. Ils encerclèrent la chose vivante et chaude avec une brusquerie qui le fit tressaillir. Mais elle savait ce qu’il aimait et elle glissa ensuite l’ensemble de sa menotte entre peau et tissu, à la recherche du mat que contenait à peine sa main fermée. Elle ne put que constater l’avancement de son envie. Et un court instant elle se demanda si c’était bien pour elle ou pour ce « téton différent » que sa bite avait une telle émotion. Mais aucune question ne franchit ses lèvres scellées par un baiser ardent. Et quand Michel reprit un bol d’air, elle le masturbait déjà vigoureusement. — Tu bandes mon coco ! Pour moi ou pour… une autre femme esseulée ? — Esseulée ? Tu parles, son Jean-Pierre doit en ce moment s’en occuper avec bonheur. — Tu y crois toi ? Je pencherais plutôt pour un malaise profond dans leur couple. Elle ne m’a pas semblé heureuse Jocelyne. Et puis tu n’as pas trouvé bizarre que ce zigoto ne vienne pas à l’eau avec nous ? — Il fait comme il veut, c’est son couple, c’est sa vie. — Ouais, mais moi, ça ne m’étonnerait qu’à demi si c’était bientôt… son ex-épouse ! Ah ! Oui en revenant vers son Mobil-Home, tu n’as pas eu l’impression que nous étions suivis ? J’ai cru entendre du bois mort sur lequel on marchait. — Il m’a semblé également, mais je n’en suis pas totalement certain. — Et tu penses comme moi ? Que c’était peut-être ce gaillard-là qui nous ...
    ... épiait ? — Quoi ? Jean-Pierre ? Déguisé en voyeur ? Oh non ! Il a bien des défauts, mais voyeur tout de même ! Et puis c’était sa femme ! — A moins mon bon Michel qu’il n’ait pas une confiance absolue en elle… —… ! Alors on passe la nuit à bavasser ou… nous nous plongeons dans le vif du sujet ? — Je vois… il vaut mieux en donner à monsieur plutôt que lui en promettre ! —… Le reste venait de se perdre dans un rire de gorge et les doigts sur la pine s’étaient resserrés un peu plus. Cette fois, gorgée de sang, la queue était bouillante et la brune piaffait d’impatience. Elle ne voulait rien de sophistiqué, rien de doux ou de tendre. Non, juste un coït rapide, fort, violent. De quoi passer rapidement son envie, celle entretenue depuis… ça n’avait aucune importance. Elle se coucha sur lui en repoussant de ses deux paumes à plat sur sa poitrine son bonhomme, pour qu’il se couche sur le sable. Ceci fait, elle enjamba le corps de Michel. Et écartant toute seule sa culotte, elle s’empala sur le jonc raide. Le premier soupir était masculin. Cette intromission avait un relent de bonheur. Elle ne resta pas longtemps à bâiller aux corneilles. Non ! Le ventre féminin se creusa alors qu’elle s’appuyait de ses mains sur ce torse nu sous elle. Et commença une chevauchée de western. L’amazone avait les cheveux au vent et la jupe rabattue sur les bas ventres qui s’enflammaient. Michel eut, avant de se laisser porter par son plaisir, une pensée pour un éventuel pauvre voyeur. Il en serait pour ses ...