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À mer que veux-tu ! (1)
Datte: 22/08/2017, Catégories: Erotique,
... filait vers la salle de bain, en riant aux éclats. Michel fit glisser ses vêtements le long de ses jambes, finalement il serait plus à l’aise à poils lui aussi. Déjà le bruit de cascade que faisait la pomme de douche le rassurait sur l’état d’esprit de son épouse. Elle savait bien parfois elle aussi, ne pas l’attendre, un juste retour d’ascenseur quelque part… Après elle, il fit de même. Un long moment de détente sous un jet tiède ne pouvait que faire du bien à son grand corps encore collant du sel de mer et le libérerait des arômes envahissants de leur partie de cul. À sa sortie de la cabine de douche. La jolie brune était assise et finissait devant la glace un savant maquillage. — Et bien Michel ? C’est bon une douche après… tout cela. Non ? J’ai préparé tes habits sur le lit, dans la chambre. — Mes habits ? Quels habits ? — Tu ne vas pas aller au restaurant à poils tout de même. Tu as déjà oublié ? Nous avons rendez-vous avec nos amis Jocelyne et Jean-Pierre pour le dîner… — Ah Zut ! C’est vrai. Ça m’était sorti de la tête. Bon je sais ce qui me reste à faire alors ! — À la bonne heure… tu sais… je voulais te le rappeler en revenant, tu ne m’as pas laissé le temps de dire un mot. — Pour une bonne cause non ? Tu joues les pyromanes, il était donc juste que tu éteignes le feu… — Dis que le pompier ne t’a pas plu… — Non… c’était… trop bien, si bien que j’en oublierais volontiers notre rendez-vous… et que je dinerais à nouveau de ces mets appétissants que tu laisses si ...
... honteusement à l’air ! — Mon Dieu ! Mon mari est un satyre… — Un satyre… ça tire aussi ? Alors oui, je le serais bien encore un peu… — Chut ! Pas question de faire faux bond à la douce « Joce », et tu sais comme Jean-Pierre peut être soupe au lait parfois… il ne te le pardonnerait pas ! — Tu parles d’une corvée. — Ouais ? Mon œil ! Elle te plait bien un peu la Jocelyne, je crois ! J’ai déjà vu ton regard quand elle met des vêtements un peu… olé-olé. — Pfff ! C’est nul ! On peut regarder sans toucher. Dieu nous a fait des yeux, c’est fait pour s’en servir. Et puis entre sa poitrine et la tienne… il n’y a pas photo. Elle riait, mais se replongea dans son ravalement de façade. Sur son siège, aussi nue qu’au premier jour, elle était belle et il ne put s’empêcher de poser sa main sur son épaule. Elle allait vers sa joue avec l’intention visible de lui faire une caresse. — Ah non ! Tu ne vas tout de même pas saboter une demi-heure de travail. On verra ça ce soir… — Je peux peut-être tripoter ici alors ? En rigolant, il avança sa main et saisit entre son pouce et son index un de ses tétons. Chez elle les bouts de seins étaient assez gros et volumineux. — Tu vois… ça ! Elle ne peut pas avoir ça, ta copine Jocelyne… ceux-là sont juste à la taille de ma bouche… tiens… Joignant le geste à la parole, Michel posait ses lèvres sur ce dard qui dépassait largement la norme de ce genre de truc. Claude frissonna, puis se saisissant de la brosse à cheveux fit mine de lui en assener un coup. Alors en ...