1. À mer que veux-tu ! (1)


    Datte: 22/08/2017, Catégories: Erotique,

    ... gloussant, son mari se recula précipitamment. — Pfff ! Pas moyen de jouer encore un peu… c’est barbant ces diners entre amis… surtout pendant les vacances. Comme s’ils ne pouvaient pas choisir un autre endroit pour passer leurs vacances ces deux-là… — Allons, calme-toi. Tu les aimes bien toi aussi, alors… chut ! — oooOOooo — Il sortit de la salle d’eau et tira la porte sur elle. Il valait mieux ne plus la voir que s’infliger ce calvaire de la savoir inaccessible. Du reste quand elle en sortit, de devant sa coiffeuse, elle passa nue devant lui et bon sang que cette statue mouvante lui donnait une barre au bas du ventre. Elle était trop belle cette… sa femme ! Il se jura qu’elle ne perdait rien pour attendre et il lui tardait déjà que ce foutu dîner soit terminé. Quelle idée que ces deux-là aient pris un Mobil-Home un village plus loin ? Jean-Pierre était un type pas souriant pour deux ronds. Un contraste saisissant entre Jocelyne son épouse depuis… quelques vingt ans et lui. Elle plutôt pétillante aimait rire et s’amuser et lui avec sa mine renfrognée… le jour et la nuit. Michel tout en dialoguant courtoisement avec son collègue se posait cette question. Pourquoi et comment une femme aussi radieuse avait-elle épousé ce type sinistre ? Pas de réponse bien entendu à venir. Claude, elle adorait la jolie rousse qui devisait gentiment avec elle, assise à ses côtés à table. Épinal était une toute petite ville de province et le tribunal n’était pas très grand non plus. Alors pas ...
    ... moyen d’éviter ces collègues côtoyés en son sein. Mais quand Jean-Pierre les avait gentiment invités à dîner, en expliquant à Michel qu’ils passeraient leurs vacances à Brétignolles sur mer, comment refuser ? Ils ne se rencontraient pas souvent, mais Claude avait aimé cette petite bonne femme aux cheveux couleur feu dès qu’elles s’étaient parlé. Le repas du soir, essentiellement constitué d’une des plus grandes richesses de notre océan, venait de débarquer littéralement sur la table. L’immense plateau de fruits de mer dressés sur une sorte de longue barque réfrigérée par un lit de glace pilée. Les conversations étaient différentes pour les hommes. Jean-Pierre n’arrivait pas à décrocher de son boulot, et Michel courtoisement se contentait de répondre poliment sans montrer d’agacement. Face à eux, les deux donzelles riaient aux éclats. Sentant soudain que les deux loustics ne parlaient plus, Claude s’adressa à son mari. — Jocelyne me raconte sa balade sur la plage. Et surtout sur la pointe de celle-ci. Alors Jean-Pierre… il parait que vous avez fait connaissance avec un endroit assez… coquin au fond de la grande plage ? — Ne m’en parlez pas… tous ces gens à poils ! Une honte à notre époque ! — Je te trouve bien dur avec ces gens qui ne veulent vivre que naturellement. Et je crois que cette plage est réservée à ce genre de… d’activités. — Oui… Jean-Pierre… tu as tort de te fâcher comme d’habitude. Ils sont chez eux et c’était nous les intrus. Et puis tu ne vas pas me raconter que ...
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