1. Einstein (5)


    Datte: 27/04/2019, Catégories: Zoophilie,

    Jeux pour adultes ! Maryse avait prestement fait rentrer son chien. Elle n’était pas certaine que l’autre là, dont elle ne savait même pas le prénom allait prendre bien la beigne reçue. Cette claque n’était là que pour lui rappeler la plus élémentaire des politesses. Il n’aurait pas dû se servir, même si elle en crevait d’envie, c’était visible comme un nez au milieu de la figure. Mais le jeune homme se contentait de rajuster sa tenue, de reprendre la valisette de Victor et il disparaissait de sa vie aussi vite qu’il venait de la traverser. Pas un mot d’excuse, pas un mot tout court ne serait-ce que pour remercier. Encore un à qui tout était dû, à qui la politesse écorchait sans doute les lèvres. Elle était de nouveau seule, et cette fois sans doute plus que jamais. Mais devant elle, sur la moquette, Einstein le mufle entre les pattes avant, lové en chien de fusil, suivait de ses yeux ronds tous les mouvements de sa maitresse. Alors elle le laissa là, et dans la salle de bain, elle faisait disparaitre toutes les traces de ses étreintes qui l’avaient pourtant ravie. Puis séché et ayant passé une liquette propre, elle revint vers l’animal et son salon. Là, elle entreprenait de faire du feu dans la cheminée, une flambée, juste pour entendre le bois craquer sous les flammes. Douce chanson, joli spectacle et elle pouvait se perdre dans l’infini de ses fantômes rougeoyants qui crépitaient dans l’âtre. Assise sur son canapé, elle avait les deux jambes largement entrouvertes et ...
    ... sans faire exprès, elle fit un mouvement de la main. Einstein interprétait immédiatement celui-là, comme une invitation à venir. En un bond sa tête était sur les genoux de Maryse et déjà sa langue léchouillait les cuisses découvertes de sa maitresse. — Arrête ! Voyons, qu’est-ce que tu fais encore ? Mais il n’écoutait plus ou ne voulait surtout pas savoir ce que cette voix racontait. Il avait un peu plus avancé son cou et ses babines laissaient entrevoir une langue longue et râpeuse qui parcourait les centimètres de peau nue dans cette fourche très offerte. Alors sans trop savoir pourquoi elle avançait juste un peu le bassin. Sa chatte se trouvait de la sorte plus en avant et le chien reprenait de plus belle ses léchouilles. Il axait ses caresses linguales sur la fente qui au grand galop bavait un peu plus que la normale. Lentement, ses sens reprenaient le dessus. Mais cette fois, elle voulait prendre les affaires en main. Elle se coulait donc sur le tapis, entre table basse et divan. Puis de sa main, elle venait à la recherche du pénis du chien. Quand elle eut enfin trouvé le manche de l’animal, elle le serrait à la base et la trique rougeaude s’étirait bien au-delà de ses doigts. La chose aussi bavait alors que Einstein lui gémissait doucement. Mais il ne cherchait pas à se dérober. Alors elle baissait la tête, amenant cette tige à ses lèvres alors que lui revenait de la truffe sur la fente dont ses cuisses écartées laissaient le libre accès. Elle léchait tout d’abord la ...
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