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Einstein (5)
Datte: 27/04/2019, Catégories: Zoophilie,
... soulagement accompagnait la chose qui s’introduisait en elle pour être stoppée par le renflement enrichi de la pierre précieuse. La jupe toujours relevée, culotte à mi-cuisse, elle se penchait en avant devant sa psyché et admirait l’effet que pouvait rendre ce truc fiché en elle. Ça lui écartait un peu les deux fesses, alors elle remontait le triangle de dentelle, puis rabattait le lé de tissu qui masquait l’ensemble. Elle était prête à se rendre « chez Gustave ». Le restaurant n’était pas très éloigné de chez elle. Mais conduire avec un objet fiché dans l’anus n’avait rien de génial. Chaque changement de vitesse, chaque bosse de la route tirait en elle des sensations plutôt étranges. Un moment elle craignait que l’engin ne continue sa montée en elle et elle devint rouge de confusion. Pourtant elle était seule dans la voiture et elle se traitait de dingue d’avoir aussi facilement cédée aux demandes de ce... voyageur sexuellement dérangé. — oooOOooo — La salle n’était pas bondée. Deux ou trois couples, dineurs attardés après une sortie promenade ou amoureux de la bonne cuisine de terroir, ces gens ne s’occupaient pas de l’entrée de cette belle femme qui embrassait d’un regard les tables. Elle apercevait celui qui semblait attendre et elle faisait deux pas dans sa direction. Elle faillit rebrousser chemin alors qu’au milieu de la salle, elle voyait une seconde caboche au côté de celui qui l’attendait. Un ami ? Un copain ? Il aurait pu lui dire que ce n’était pas un ...
... rendez-vous galant ! Sans gêne tout de même ce mec... Elle en était là de ses pensées et déjà Victor s’était levé. Il lui faisait un signe de la main, alors que le type face à lui aussi s’était redressé. Il était grand, sans doute plus jeune aussi que son ami. Elle avait désormais les jambes un peu coupées par la vision de ce second gaillard. Victor l’invitait à prendre place et la seule assiette libre se trouvait près du nouveau. — Ah ! Marc, je te présente Maryse ! Maryse, Marc un ami que je croise de temps en temps lors de mes tournées. J’espère que ça présence ne vous importune pas ! Il se joint à nous pour un diner de fête, parce que c’en est une de diner en votre compagnie. —... ! Si c’est votre ami... — Il l’est je vous l’assure. Et un ami très cher... vous êtes encore plus belle que dans mes souvenirs. Tu sais Marc, cette femme est un bijou à elle toute seule. — Je n’en doute pas. Victor a bon gout en matière de femme, et j’avoue que vous avez un charme fou ! — Vous me mettez mal à l’aise vous deux, avec vos mots gentils. — Vous savez bien que nous avons raison, n’est-ce pas Marc ? Victor s’adressait à ce Marc comme s’il était entendu que la suite de la soirée était déjà programmée. Ils prenaient l’apéritif maison et puis dinaient sans trop d’autres appréciations qui lui mettaient le rouge au front. Assise sur un siège long fait d’une sorte de cuir, à chaque mouvement, elle sentait la pression du rosbud qui jouait son rôle en elle. Elle savait bien que ses lèvres vaginales ...