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Einstein (5)
Datte: 27/04/2019, Catégories: Zoophilie,
... la déranger dans son reste de sommeil. — Allo ! Maryse, merci pour ma valise. — Votre valise ? — Oui, vous ne m’avez pas reconnu, c’est Victor. Je serai de passage dans votre joli pays mercredi soir. Vous voulez diner avec moi ? —... ! Un long moment, elle se demandait si elle n’allait pas l’envoyer paitre. Mais quelque chose la retenait. Elle restait scotchée, sans mot ni pour le balancer ni pour convenir d’un rendez-vous. Mais l’autre prenait de l’assurance. — J’aimerais vous revoir. J’ai un excellent souvenir de vous et mon Dieu... je crois que mon jeune ami José également ! — Il s’appelait José le jeune homme que vous avez envoyé... — Ah ? Il ne s’est pas présenté ? Un goujat ? Je n’y crois pas ! Alors pour ce mercredi soir ? On se retrouve... « chez Gustave », vous savez ce restaurant au milieu de votre village... je compte sur vous ? — Je... je ne sais pas... je ne sais pas si je serai libre. — Oh ! Allons laissez-vous tenter, j’ai une nouvelle collection de bijoux... ils sont tous plus merveilleux les uns que les autres et la lingerie nouvelle... c’est un enchantement. — Bon je vais voir si je peux me libérer... — Et puis vous savez ce qui serait bien... c’est que vous veniez au rendez-vous avec... le bijou que je vous ai offert... Elle ne répondait plus. Il venait tout bonnement de lui demander de se mettre dans les fesses le rosbud pour aller à un rendez-vous. Elle mesurait combien les hommes pouvaient parfois être imprévisibles. Il lui disait à mots couverts ...
... qu’il voulait la baiser et le pire de cette affaire c’était qu’elle était, dans sa tête, presque charmée de cette attention. Elle raccrochait avec une sorte de sourire sur les lèvres comme si l’affaire était entendue. Elle irait surement au restaurant comme il le lui demandait ! Les trois jours qui la séparaient de ce diner passaient sans encombre. Einstein tournait depuis le matin comme s’il avait perçu que sa femelle était chaude, prête pour une nouvelle saillie. En rentrant du boulot, elle le vit qui arborait une trique d’enfer. Elle le rabrouait gentiment et se préparait pour sa sortie. Une longue douche durant laquelle elle frictionnait toutes les parties de son corps, s’attardant sur celles plus susceptibles d’être mises à contribution, de « servir ». Dans sa tête elle avait passé le cap et savait déjà que l’homme allait la monter. Elle en gardait un souvenir suave et son ventre savait bien lui rappeler son appétit. Elle prit un soin tout particulier pour choisir ses sous-vêtements. Ni trop bourgeoise et pas trop pute non plus. Un juste équilibre entre les deux et elle fouillait dans sa table de nuit., à la recherche d’un tube de vaseline. Quand elle fut sur le point de prendre la route, elle en récupérait une noisette sur le bout de son index. Baissant sa culotte, elle joua du doigt sur sa rosette. Quand elle jugea que c’était prêt, elle enduisait le bout plus pointu du joujou et lentement elle le poussait à l’intérieur d’elle avec une sorte de grimace. Un long soupir de ...