1. Einstein (5)


    Datte: 27/04/2019, Catégories: Zoophilie,

    ... longueur de ce mat violacé, les yeux clos et elle enfournait l’ensemble de la bite du cabot dans son gosier. Elle le suçait comme s’il s’agissait d’une bite de mec et le délice qu’elle en retirait allait de pair avec son excitation. La fellation dura un bout de temps. Ensuite, elle se releva, se mit à genoux et poussa sans lui lâcher la queue, le chien sur le côté. Quand elle l’enjambait, c’était pour mieux venir s’assoir sur cette chose que sa main cramponnait et gardait bien raide dans sa paume. Tout doucement la bite entrait en elle. Et dans un soupir de soulagement, elle la laissait glisser jusqu’à ce qu’elle touche le fond de son vagin. Ensuite tout tranquillement, elle se fit monter et descendre sur la pine d’Einstein. Il ne bougeait pas, semblant apprécier cette manière de le monter. Elle soupirait et le cabot en écho jappait comme des mercis de satisfaction. Le petit manège dura jusqu’à ce que se cristallise en elle, un premier orgasme. Celui-ci devenait de plus en plus impossible à réprimer et elle lâcha le dard animal. Le cabot en profitait prestement pour se redresser et de ses pattes avant, pesait de tout son poids sur les épaules de Maryse. Il la poussait, pressé de la prendre en levrette et cette fois, elle sentait que le vit canin touchait la bonne porte. Il entrait en elle de nouveau et ses coups de reins furieux lui donnaient l’impression qu’un homme vigoureux lui labourait le ventre. Frénétiquement, il se laissait guider par son instinct et si à plusieurs ...
    ... reprises, sa pine fut éjectée, c’était toujours pour retrouver son chemin sans trop perdre de temps. Mais à force de gesticuler et de se faire virer pour mieux réinvestir la place, la queue d’Einstein se faufilait par l’entrée des artistes. C’est ainsi que, non contente d’avoir été dans la soirée sodomisée par un gamin malpoli, son clebs aussi l’enculait et la sensation en était toute différente. La pine canine avait un bon diamètre, mais en plus elle était d’une longueur étrange. Et cette fois, à force de remuer, il la remplissait avec la langue pendante sur le côté alors que notre brune psalmodiait des mots incompréhensibles. La monte entre elle et son chevalier-servant se terminait par une jouissance qui la laissait pantelante et sans force. Longtemps après qu’il soit sorti d’elle, elle ressentait encore les affres des orgasmes qui se succédaient aux bords de ses lèvres. Elle se relevait enfin et embrassait son amant à quatre pattes sur le haut du crâne. Mais lui ne voulait que filer courir dans la pelouse et elle s’exécutait bien vite en lui ouvrant la porte-fenêtre. Ensuite, une nouvelle douche et elle redevenait la jolie bourgeoise sage que tout le monde connaissait. Personne ne se serait douté que sous la chemise de nuit, une salope sommeillait ! — oooOOooo — C’était le téléphone qui venait de réveiller la brune ce samedi matin. La voix dans l’appareil ne rappelait rien à la jeune femme et elle s’apprêtait à raccrocher vertement au nez de cet intrus qui se permettait de ...
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