1. Einstein (5)


    Datte: 27/04/2019, Catégories: Zoophilie,

    ... suintaient de cette rosée que l’objet en elle lui procurait. Au dessert, Marc était enjoué, et semblait excité, buvant les paroles de la brune. Son pote Victor lui vantait de nouveau les charmes de la belle et elle minaudait en se tortillant sans trop le montrer. Mais comme un pavé dans la mare, elle l’entendait soudain qui lui posait une question qui la pétrifiait. aqpahhgf — Ma chère Maryse, avez-vous suivi mon conseil et portez-vous mon bijou ? Ah ! Oui Marc, je ne t’ai pas dit... j’ai offert lors de ma première rencontre avec Madame un bijou très... intime et elle avait l’instruction de le porter ce soir. —... ! — Vous aimez donc ce genre de joujoux ? Je pense qu’ils embellissent les femmes et que celles qui les portent sont déjà un peu... soumises. — Répondez Maryse, portez-vous mon... enfin l’avez-vous sur vous ? —... ! Horriblement gênée, elle avait piqué un fard. Sans aucun doute les deux-là avaient le sourire et elle faisait les frais de ce facétieux type. Victor la poussait lentement dans ses derniers retranchements. Elle n’arrivait plus à articuler un mot, rouge comme une pivoine. — Vous avez donc perdu votre langue ma chère amie ? Vous permettrez donc que mon jeune ami s’assure de la présence de mon cadeau ? Oh ! Comme cela, juste du bout des doigts... soyez chic, je crois que depuis un certain temps, il n’a pas eu l’occasion de croiser la route d’une aussi belle femme. — Mais... vous... vous êtes dingues ma parole. — Sans doute, mais jamais folie n’avait eu un ...
    ... aussi joli point de départ Maryse. Alors ? Marc peut... sentir si vous avez respecté la clause du contrat ? De toute façon, nous allons vous faire l’amour tous les deux. Inutile de jouer à la sainte nitouche, je sais bien que vous devez déjà mouiller votre culotte. Alors, vas-y Marc qu’attends tu pour vérifier si Maryse porte bien mon jouet ? L’autre n’avait pas bronché, les yeux plongés dans ceux de la brune. Elle semblait le supplier, lui hurler muettement de ne pas faire cela. Et les deux hommes se délectaient déjà de ces regards apeurés. Alors quand il fit passer sa main sur le genou, remontant celle-ci entre les deux cuisses qu’elle s’obstinait à garder serrées, elle tressaillait. Cette visiteuse montait sans s’arrêter et un moment plus tard, elle se frottait d’abord à la dentelle qui couvait le sexe de la brune. Lentement, sans crier gare, les doigts enfin descendaient le long de la fourche, à la recherche de la petite proéminence qui obturait l’anus. — Oui Victor, Madame est équipée. La chose est bien là ! Et je t’assure qu’elle mouille abondamment. Sa culotte est archi trempée. Je peux la caresser un peu ? — Pourquoi me le demandes-tu ? C’est à notre jolie cochonne de donner son accord ? Vous êtes consciente que nous allons aller chez vous et que nous vous baiserons tous les deux... peut-être même ensemble ? —... ! ... ? De nouveau, un soupir qu’elle ne pouvait réprimer et l’autre avait un majeur qui écartait ses lèvres. Elle tentait de rester droite, de ne pas se ...
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