Cousine
Datte: 28/04/2019,
Catégories:
Accouplements Érotiques,
... bouche et me prodigua un baiser passionné. Cela eut un effet foudroyant sur moi : Geneviève et moi avions déjà frenché, mais jamais de façon aussi torride. Les sensations étaient décuplées, centuplées. Je fus pris d'un tremblement irrépressible. J'atteignais le point de non-retour, là, tout de suite... β Je... β Tsss ... tsss... Attends... Elle s'étendit sur le dos, ouvrit les jambes. Offerte. Je me redressai, prêt à la pénétrer... β Ta bouche... Et comme j'hésitais : β Je vais te dire quoi faire. Je cachai ma réticence juste par fierté. Jamais Geneviève ne m'avait demandé ça. Je fus agréablement surpris par un parfum étrange de fleur et un goût acide. En suivant ses instructions, je passai la langue sur le pourtour rasé de près, chatouillai et mordillai le bouton dressé, écartai la chair lisse, et enfonçai un doigt, puis deux dans son doux réceptacle. Elle dicta ses directives pendant des minutes qui me semblèrent une éternité. Marion vibrait et ses cuisses m'enserraient la tête, comme un casse-noisette. Elle se mit à crier et à haleter. Mon crâne me semblait sur le point de se rompre lorsqu'elle se détendit soudain en soupirant : « Tu apprends vite, petit... » Elle me prit la tête à deux mains et d'autorité me fit m'étendre sur elle. β Tu me veux? murmura-t-elle à mon oreille en tâtant mon instrument en pleine érection. Ça me fit une sensation électrique. β Nous... je devrais peut-être mettre un préservatif? suggérai-je timidement. Elle me gronda : β Tu ne crois pas que ...
... c'est un peu tard pour y penser, cher? Mais non, tu es gentil... bien éduqué... Pas besoin, j'ai pris d'autres précautions. Sa main me guida et je la pénétrai lentement, m'extasiant à chaque centimètre. Ma chair était à vif. J'entrais et sortais de plus en plus vite, emporté par un élan irrépressible qui me fit éclater en elle presque aussitôt. Je continuai à lui asséner des coups de butoir encore et encore, comme si mon corps avait autre chose à donner. J'allais m'effondrer, mais je vis son sourire en coin. Elle s'était laissé faire pour m'observer à loisir. Elle ricana et je me sentis tout honteux. β Wow! t'es fougueux, toi! Se moquait-elle de moi? Elle suggéra qu'on se mette en cuillère, ce qui m'évita de soutenir son regard. Ses cheveux courts me chatouillaient le nez, ils dégageaient un arôme capiteux. Je lui soufflai, orgueilleux d'étaler mon savoir : β Lady Chatterley... β Moi? Oh non! Madame Bovary plutôt! β Madame...? C'est de Balzac, ça? Elle pouffa. Quand je rouvris les yeux, le matin entrait à pleines fenêtres et elle me dévisageait tendrement de ses yeux rieurs. J'allais parler, mais elle posa son doigt sur les lèvres, puis y déposa un baiser bref. β Ce que nous avons fait... et que nous ferons encore sera notre secret. J'aime Pierre-Olivier et toi, ta belle Geneviève. Tout ça n'engage à rien : c'est pour ne pas rouiller. Tu veux bien? Pour réponse, je lui pris le poignet et embrassai galamment le revers de ses doigts. J'étais soulagé d'avoir de me voir déchargé de ...