1. Cousine


    Datte: 28/04/2019, Catégories: Accouplements Érotiques,

    ... la culpabilité qui m'accablait. Elle m'interrogea sur ma blonde, où elle était, si j'allais aller lui rendre visite à Kingston avant son retour. En effet, j'attendais avec impatience l'appel de ma blonde : il y avait si longtemps que nous ne nous étions parlé, au moins quatre jours. « Une éternité, en effet », commenta Marion. Celle-ci fut emballée d'apprendre que j'étais accepté en lettres à l'université, me demanda les noms de mes auteurs préférés. Je babillais en la fixant admirativement : comme elle était belle! Je le lui dis, m'interrompant moi-même au milieu de ma phrase. Elle sourit, retira sa main que je n'avais pas lâchée jusque-là, souleva le drap pour jeter un coup d'œil entre mes jambes. ― Oh! Elle écarta complètement le drap et plongea vers mon pénis en pleine érection. Ses lèvres épousèrent le gland et elle se mit à sucer pour mon plus grand émerveillement. Les sensations étaient presque intenables quand elle s'amusait à passer et repasser le bout de la langue le long de mon membre. Puis, elle l'enfonça loin dans sa gorge. Elle leva des yeux rieurs vers moi et bientôt je ne pus plus me retenir. Je me cambrai et me vidai en quelques secousses profondes. Marion étouffait presque. Je me retirai. Souriante, elle avala ostensiblement. ― Dis donc! tu as arrosé mes cordes vocales bien comme il faut! Après un petit-déjeuner copieux, je pensai à vérifier mes messages : Marion avait appelé. « Pourquoi tu ne réponds pas : tu es trop occupé? » Elle concluait qu'elle me ...
    ... rappellerait le lendemain. Je m'étonnai de ma propre indifférence. Nous nous remîmes à l'ouvrage avec entrain. Avant l'heure du lunch, nous avions terminé le salon. Il ne restait plus que le passage à repeindre. Nous mangeâmes sur la terrasse ombragée. Avant le dessert, elle exigea que je lui fasse un cunnilingus. ― Un quoi? Les voisins ne pouvaient pas nous voir, mais peut-être purent-ils entendre que Marion prenait son plaisir sous mes soins. Oui, vraiment, j'étais un bon élève, confirma ma cousine. Elle me parla de Pierre-Olivier, de l'admiration qu'elle lui portait. Que dire de ses ambitions, de son sourire, de sa virilité! Un jour, à leur maison de campagne, ils avaient baisé trois fois de suite. Dont deux fois dans le sous-bois. Et il en redemandait. (J'écoutais ces confidences, franchement embarrassantes.) Il travaillait trop cependant : la clinique, ses cours le tenaient souvent éloigné d'elle. Mais il allait revenir le lendemain matin. Ensuite ils partiraient au chalet sans attendre. Ils allaient rattraper le temps perdu. Je cessai de l'écouter. Notre histoire arrivait-elle donc à son terme? Je me sentis trahi. Le souvenir de Geneviève s'était estompé, il n'y avait plus que Marion, Marion qui était ici, maintenant. Disponible. Et insatiable... Pas tant que ça, car, comme elle passait le pas de la porte pour entrer, je la rattrapai et me collai à elle. ― Mais... qu'est-ce que tu fais, mon fou? Les voisins pourraient nous voir! Je refermai la porte-fenêtre et prestement la ...
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