Cousine
Datte: 28/04/2019,
Catégories:
Accouplements Érotiques,
... et je me mis à l'ouvrage. Nous n'échangeâmes pas trois mots de tout l'après-midi. Elle avait peut-être un sourire en coin, je n'en étais pas sûr et je m'en foutais. Je mettais de la rage dans mon ouvrage. Ça m'a apaisé un peu finalement. Au début de la soirée, elle a pris une longue douche. Tandis que je ramassais les outils, je l'ai entrevue, comme elle passait à la chambre, pieds nus, enveloppée dans une grande serviette blanche, les cheveux trempés. Je n'ai pu me retenir d'admirer ses jambes. J'en avais touché la surface soyeuse la nuit précédente. Ces mêmes cuisses douces... Je me sentis rougir. Nous avons soupé chacun de notre bord et aussitôt après je me suis isolé dans le sous-sol après un bref « bonsoir ». Elle n'a pas même tenté de parler. J'ai pris bien soin de fermer la porte, devant laquelle j'ai placé une chaise, histoire que les événements ne se répètent pas. Je l'ai entendue se mettre une vidéo au salon. Elle s'est interrompue pour répondre au téléphone : Pierre-Olivier sans doute. Les paroles me parvenaient indistinctes, mais le ton de voix était enjoué au début, ensuite, c'est devenu plus grave. « Non! pas question! il n'en est pas question! » Puis plus rien, jusqu'au moment où elle a raccroché et repris son film. Quelques pas : elle devait se préparer à gagner son lit. Puis plus que le silence et le hurlement de mes pensées. À une heure du matin, je cherchais toujours le sommeil. Je me dis qu'il fallait que je lui parle si elle ne dormait pas déjà. Me ...
... libérer en me vidant le cœur. Je rangeai la chaise et montai sur la pointe des pieds. Aucun bruit derrière la porte entrouverte de la chambre. J'hésitai. La lune jetait une lumière blafarde sur le lit. Je ne l'entendais pas respirer. Je ne distinguais rien. ― Entre. Je sursautai. Elle y était. Je m'avançai, bien décidé à mettre les choses au clair. Je la vis alors qui soulevait le drap, pour m'inviter à m'étendre. En m'approchant, mon cœur bondit en la voyant nue dans le rayon de lumière. Toutes mes résolutions s'effondrèrent et je pris place à ses côtés. Elle m'attira contre elle. ― J'ai froid. Viens plus près. Mon pénis, droit comme un i, frôla son ventre. Comme sa peau était veloutée sur son corps musclé! C'est alors que j'acceptai l'idée que je flambais de désir. Je voulus m'installer entre ses cuisses en les écartant d'office. ― Doucement, doucement, mon petit. Tout d'abord, apprends à me connaître. Ta main ici, dans mon cou. Descends sur mes seins. Lentement. Touche mon ventre. Et plus loin, entre mes jambes... Oui... Malgré mon impatience, je me laissai guider. Elle n'avait, en fait de poitrine, que de légères bosses soyeuses, serties de boutons bien durs. Son ventre à peine rebondi cachait un sexe brûlant. Toujours à sa remorque, mes doigts s'attardèrent sur son clitoris à l'attention et passèrent entre ses petites lèvres tendres. Elle me poussa dans l'ouverture humide. Marion se tortilla en geignant et se lova sur moi. « C'est bon... », soupira-t-elle. Elle chercha ma ...