1. Epilogue II : La jouissance du mal


    Datte: 30/04/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... inhabituel pour le peu que je m'y connaisse ! Il glisse en moi de manière impromptue, mon corps le désir autant que le sien rêvait d'être en moi, seul à seul. Il me regarde en souriant, se retire complètement, nous changeons de position, je m'assois cette fois sur le meuble en lui présentant ma rondelle désormais bien éclose, et il continue de me prendre dans cette position plus confortable pour tout les deux. Nous nous regardons droit dans les yeux, ses yeux me brûlent tellement son envie se reflète sur moi. Il me désire, je le fais suer. Hors d'haleine, il se penche un peu plus sur mon torse en continuant ses coups de reins réguliers, relève la tête lentement et m'embrasse pendant que mes doigts filent sur son corps trempés de sueur. Je lui caresse les tétons, lui mords le creux du coup, redessine ses muscles en le caressant avec vigueur. Son pouls s'accélère, il me fait chavirer en me donnant des coups puissant. Les jambes en l'air, le dos posé sur le grillage, je le regarde prendre son pied (et les miens également) et sa bouche se tord dans un rictus inimaginable, il est proche de l'orgasme je le ressens, il rouvre les yeux avec le peu de conscience qui lui reste et me regarde chaudement. Je me retire calmement en faisant preuves de bruitages forcés pour l'autre ahuri dehors qui attends depuis 10 bonnes minutes. Je tombe par terre, à genoux, il pose son fessier musclé à son tour sur la commode en bois. Je me relève du mieux que je peux pour finir ce feu d'artifices en ...
    ... gorge profonde et à l'instant même ou mes lèvres touchent son gland que de long et puissants jets qui n'en finissent plus atterrissent sur ma bouche et dans le fond de mon palais. Il rugit, les yeux mi-clos et la tête rejeté en arrière. Ses muscles se contractent sous mes mains qui continuent de le toucher, de le dévorer à chaque parcelle de peau découverte. J'avale ce nectar avec délice et m'essuie les restes du revers la manche. Très sucré, comme sa couleur café au lait. Il est beau, il est bon, et son sexe géant. Et sans m'y attendre, il attrappe mon sexe sur le point d'exploser et me masturbe rapidement, il n'a pas fallût plus de deux minutes pour voir le blanc s'éjecter le long de la commode.... Je suis apaisé, autant qu'il est souriant. On se regarde une dernière fois dans le blanc des yeux, et on se rhabille en silence, comme si un seul mot pouvait gâcher cette instant unique ou bien remettre à neuf la rage de Diego. Sans un regard, je sors de la camionette, descends et commence à boîter à cause de la souffrance qui continue de se répandre. Je n'ai plus de cul, c'est juste un trou, un vide, un creux. "-T'en as mis du temps mon cochon", lance Diego à l'adresse du jeune brun en partant dans un rire effréné. Le camion démarre, et ils partent sans un merci, sans un aurevoir, ni un adieu. Je suis juste là, addossé contre le mur de brique pour supporter mon poids, Crochet au pied. Certains mâles sont dominants à caractère violent. Il ne vaut mieux pas jouer avec leurs nerfs, ou ...
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