La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°728)
Datte: 04/05/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... avances mais je n’avais osé dans un premier temps à tromper mon mari. Il ne tarda pas à m’emmener dans une grange de ferme à proximité du bal où je cédai aux plaisirs charnel quand je sentis mon corps se détendre sous ses douces caresses, ses baisers fougueux et l’odeur du foin... La présence d’une certaine excitation s'affirmait en mon bas-ventre quand il me dénuda, enfin quelqu’un me touchait, quelqu’un qui avait envie de me prendre, envie de mon corps… quel bonheur de se sentir encore désirable quand on a un peu plus de quarante ans… Je me souviens de sa main affirmée, sûre d'elle, qui se glissait entre mes cuisses et sans hésitation fouillait mes chairs intimes. Une main qui m’incitait à écarter encore plus mes cuisses, jusqu'à pouvoir à peine encore me tenir debout et ses doigts qui entraient en mon intimité alors que son autre main pelotait mes seins, ses doigts qui saisissaient mes lèvres humides et palpitantes de désir... Puis cette main encore qui remontait sur mon ventre, mes seins... qui pinçait mes tétons déjà dressés, d'abord presque tendrement et puis de plus en plus perversement ce qui m’excitait encore plus, jusqu'à obtenir de ma part une grimace de douleur et qui m'obligeait à me mordre les lèvres pour ne pas crier au risque d'alerter le voisinage de la proche rue. Puis la pression se relâchait, sa deuxième main se joignit à la première. J’étais dans une montée de plaisirs incroyable, caressée, palpée, pelotée, fouillée... Je me rappelle avoir tremblé de ...
... tout mon corps, me mordre encore pour ne pas gémir bruyamment... Puis le Marquis me poussait dans le foin ou je me retrouvais couchée, jambes largement écartées. Il me saisit mes poignets pour m’imposer de garder les bars largement écartés haut dessus de ma tête. C’est couché sur moi, que ses mains s'égarèrent sur mes fesses, mon ventre, mon sexe, je me cambrai dans un mouvement de bassin afin qu’il me prenne, qu’il me possède... Ses doigts suivaient la ligne de ma raie de mon anus jusqu’à mon vagin pour redescendre vers mon petit trou. Il l'écartait doucement jusqu'à introduire un doigt humide dans ma rosette offerte... puis un deuxième doigt se frayait un chemin, l'ouvrant un peu plus encore alors qu’un troisième, le pouce, masturbait mon clitoris et pénétrait mon sexe trempé dans une suave pression d’un doigté exquis... Je me rappelle de son souffle rauque qui lui échappait lorsqu'un quatrième doigt se joignait aux deux précédents écartant plus largement mon petit trou, ouvrant ainsi la voie à son gland violacé qui déjà se frayait un chemin, forçait sur ma rosette épanouie, pénétrait et s'introduisit en elle... Je laissais juste échapper un petit cri vite étouffé, tandis que le Marquis s'enfonçait en moi, dans mon fondement, d'abord lentement, puis de plus en plus bestialement, secouant tout mon corps de spasmes de plaisirs par ses coups de boutoir appuyés. Je trouvais encore la force à me mordre mes lèvres pour ne pas hurler de douleur et de plaisirs inouïs entremêlés... Le ...