1. À toute chose malheur est bon !


    Datte: 15/05/2019, Catégories: fh, grp, couple, uniforme, fépilée, noculotte, Oral préservati, double, fsodo, Partouze / Groupe fouetfesse, extraconj, bourge,

    ... gonflé et chaque fois que je l’effleurais, Corinne tressautait en écartant un peu plus les jambes. En remontant, je m’arrêtais sur son petit trou noir, dessinant de mon doigt son périmètre et essayant d’y insérer une phalange, juste pour apprécier la tenue de son muscle protecteur. Après quelques caresses délicates, je lui infligeai une fessée sans violence, mais avec suffisamment de fermeté pour que sa peau devienne rose d’envie. Elle jouissait à chaque claque. Elle en redemandait. Je ponctuai la punition par d’autres caresses tant sur la longueur de sa fente que sur son petit trou rugueux, qui progressivement montrait de moins en moins de réticence à l’insertion de mon doigt. Pierre ne resta pas inactif. De son côté il avait empoigné Clotilde qui subissait le même traitement que sa maîtresse. Elle se faisait fesser avec un plaisir qu’elle ne cherchait même pas à masquer. Elle aussi appréciait cette punition. Avec son plug dans l’anus, chaque claque décuplait son plaisir par l’onde de choc qui se propageait jusque dans ses entrailles. N’ayant aucune vocation de voyeur, Georges s’approcha du visage de Clotilde et, relevant son kilt, il lui présenta son sexe d’une taille imposante. Clotilde, qui avait déjà quitté le monde réel, lui prit la verge et l’engloutit sans sourciller. Elle avait dans la bouche toute la longueur de la hampe de son collègue. Elle faisait des va-et-vient qui semblaient réjouir l’Écossais que la nature avait gratifié. Elle le masturbait avec des gestes ...
    ... amples accompagnés de caresses labiales qui démontraient une certaine habitude et une dextérité que l’on souhaiterait voir acquise par toutes les femmes. Elle aimait ça, c’était manifeste. Ce spectacle me désinhiba complètement. Ayant estimé que la couleur des fesses de ma partenaire avait atteint la densité maximale de son désir, j’explorai plus avant les deux trous de la fente échancrée que m’offrait Corinne. Sa grotte magique ruisselait abondamment d’une substance à la fois laiteuse et fluide. Ceci me permit de faire entrer la presque totalité de ma main, gardant mon pouce pour son anus qui n’offrait plus guère de résistance. Je tenais la belle par ses deux trous dont je caressais l’intérieur en faisant se rejoindre mon pouce et mes doigts, séparés juste par une fine barrière de peau. L’intensité du plaisir qu’elle vivait m’était confirmée par les gémissements rauques qui sortaient de sa gorge. Bien campée sur ses genoux, les fesses hautes, elle s’attaqua à mon pantalon. Tout en jouissant, avec un calme et des gestes parfaitement contrôlés, elle ouvrit ma braguette et enfourna mon sexe qui n’en pouvait plus d’être enserré dans mon boxer. De ma main libre, je retirai mon pantalon et, en écartant les jambes, je lui offris mon orgueil qui se dressait vers le ciel. Corinne n’était pas une novice dans le domaine de la fellation. Elle savait faire et elle aimait ça. Rien à voir avec certaines femmes qui se prétendent des spécialistes de l’exercice et qui vous prennent du bout des ...
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