1. À toute chose malheur est bon !


    Datte: 15/05/2019, Catégories: fh, grp, couple, uniforme, fépilée, noculotte, Oral préservati, double, fsodo, Partouze / Groupe fouetfesse, extraconj, bourge,

    ... lèvres en faisant une grimace dégoûtée. Elle, c’était différent. Elle engloutissait la longueur de ma verge allant jusqu’à pousser au delà des limites de sa cavité buccale. Je sentais mon gland pénétrer jusque dans sa gorge. Chaque fois qu’elle déglutissait, je prenais une décharge électrique dans le bas-ventre. Jamais on ne m’avait honoré de la sorte. Pierre et Georges n’étaient pas en reste. Ils s’occupaient de faire hurler la belle Clotilde. Elle était à califourchon sur Pierre et faisait coulisser son sexe par de grands mouvements du bassin, tandis que Georges, qui avait délibérément renoncé à garder son kilt, pilonnait son petit trou noir en la tenant fermement par les hanches. Elle avait la tête rejetée en arrière, mettant ainsi en avant ses seins à l’aréole brune et large de désir, que Pierre malaxait avec conviction. Ne souhaitant pas me répandre dans la gorge de la belle femelle qui s’occupait de mon plaisir, je relevai juste à temps la maîtresse des lieux pour lui proposer ce que je projetais maintenant depuis de longues minutes. — Levez-vous Corinne ! Je ne tiens plus ! Vous me faites mal de plaisir. Je me vois dans l’obligation, si tant est que vous me l’accordiez, de vous sodomiser. En même temps que je lui faisais cette proposition, je lui retirai sa robe. Son soutien-gorge noir et son porte-jarretelles la rendaient encore plus désirable. Elle me mettait dans un état de surexcitation que je n’avais jusqu’alors jamais ressenti. Ses seins blancs et lourds ...
    ... laissaient poindre ses tétons au travers de la fine dentelle noire. Ses rondeurs ne faisaient qu’amplifier sa beauté. Elle rayonnait tant elle était désirable. Sans aucune pudeur et tout en tenant fermement mon sexe dans la main, elle me fixa droit dans les yeux et m’intima l’ordre de la sodomiser en des termes et sur un ton dominateur que je n’aurais jamais imaginé qu’ils puissent sortir de sa bouche. — Allez-y Jean ! Sodomisez-moi ! Sodomisez-moi fort, jusqu’au plus profond de moi-même ! Faites-moi hurler de plaisir ! Un peu décontenancé par la violence de sa demande, je restais là, les bras ballants, sans trop savoir comment j’allais m’y prendre ; ma première expérience en la matière n’ayant pas été des plus fructueuses. Avant même que j’aie le temps de réfléchir plus avant, elle prit les affaires en main. — Georges ! cria-t-elle, venez vite, j’ai besoin de votre aide. Je veux que Jean me sodomise pendant que vous me prendrez par-devant. Montrez-lui comment s’y prendre ! Georges, qui n’avait pas l’habitude d’aller à l’encontre des désirs de sa maîtresse, laissa Clotilde dans les bras de Pierre. Ce dernier profita du départ de Georges pour mettre sa servante à quatre pattes et prendre la place encore chaude qu’occupait son majordome quelques secondes auparavant. Il se mit à sodomiser la belle jeune femme avec une ardeur que lui envieraient bon nombre de mes congénères. La belle ne se fit pas prier. Elle hurlait de plaisir. En attendant que Georges se mette en place et qu’il chausse ...