1. À toute chose malheur est bon !


    Datte: 15/05/2019, Catégories: fh, grp, couple, uniforme, fépilée, noculotte, Oral préservati, double, fsodo, Partouze / Groupe fouetfesse, extraconj, bourge,

    ... grande famille écossaise ?— Je voulais découvrir le monde, Monsieur ! Quant à parler de fastes à propos de ma famille, permettez-moi de vous préciser que nous vivions très modestement. Les Écossais ne sont pas tous les heureux propriétaires d’un château hanté !— Et votre découverte du monde s’est arrêtée ici ! C’est ça ?— Disons que c’est un peu plus compliqué que cela, mais c’est un raccourci que l’on peut s’autoriser, Monsieur. Pierre coupe court. — On aura certainement l’occasion d’en reparler… Avant qu’il ne termine sa phrase, je repris : — J’ai beaucoup de respect pour le peuple écossais. Georges sembla apprécier mon affirmation. — Ah oui ? Puis-je demander à Monsieur la raison pour laquelle mes compatriotes lui inspirent-ils ce respect ? interrogea-t-il.— Pour plusieurs raisons Georges. Vous me permettez de vous appeler Georges ?— Ce sera un honneur pour moi Monsieur. Je poursuivis le fil de mon propos. — La première de ces raisons est de ne jamais avoir plié sous le dictatorial joug britannique. La deuxième est votre art de savoir vivre malgré un climat pour le moins particulier, pour ne pas dire tumultueux et enfin la dernière est la qualité de votre whiskey qui ne ressemble à aucun autre !— Je vois que Monsieur est un connaisseur et je m’en réjouis ! Merci Monsieur ! Pierre profita alors de cette dernière remarque pour enchaîner. — Eh bien justement ! Je vous propose l’apéritif ! Corinne ne devrait plus tarder maintenant. Elle m’a promis de se faire belle pour ...
    ... cette occasion. Comme d’habitude… Sur l’invitation de Pierre, je m’installai sur un confortable fauteuil de cuir de belle facture. Pierre prit place sur le canapé pendant que Georges, devant la commode, s’affairait à préparer les verres et les bouteilles. Avant même que Georges ne me propose une quelconque boisson, la jeune servante ouvrit la porte du boudoir et s’effaça pour laisser entrer sa maîtresse. Je vis alors entrer une femme magnifique. Pour que tout le monde puisse pleinement profiter de sa beauté, elle resta plantée là quelques secondes. Elle me fixait du regard avec un grand sourire qui en disant long sur la joie qu’elle avait de me voir. Il m’est difficile de la décrire tant elle était belle. Une beauté qui n’a rien à voir avec les standards que nous imposent les magazines. Une beauté naturelle de femme épanouie. Elle respirait le bonheur et la joie de vivre. D’une taille moyenne, les cheveux noirs reposant sur ses épaules, juchée sur des talons d’une hauteur respectable, elle portait une robe de couleur sombre qui lui arrivait un peu au-dessus du genou. Si son vêtement ne cachait rien de ses rondeurs, il mettait en valeur une poitrine avantageuse sans excès grâce à un décolleté qui laissait entrevoir la blancheur de sa peau laiteuse. La relative transparence de la robe et les rayons du soleil en provenance de l’entrée m’offraient insidieusement par transparence le spectacle de ses cuisses et surtout de son entrejambe. À cet instant précis, je ressentis une sorte de ...
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