1. Ma main et moi


    Datte: 15/05/2019, Catégories: fh, ffh, fbi, Collègues / Travail médical, handicap, campagne, douche, intermast, Oral pénétratio, init,

    ... — Fais pas ton pudique maintenant. À la douche ! Ne me laissant pas le choix, elle ramassa le savon et presque dans le même mouvement, elle tira ma serviette et la lança sur le banc. Puis la jeune monitrice appuya sur le bouton de la douche et se rejeta en arrière. L’eau se remit à couler et elle en vérifia la température. Frottant ses mains l’une contre l’autre, elle les savonna consciencieusement. Pour l’aider, je remis un pied dans le bac, toujours mal à l’aise. L’eau ruissela rapidement sur moi. Et Caroline entreprit de me savonner. Je sentis d’abord ses mains, un peu calleuses, adoucies par le savon, se poser sur ma poitrine. Elle étala la mousse, remonta sur le côté du cou. Elle poursuivit le mouvement sur mon bras. Je commençai à apprécier. — Zut, je suis en train de me mouiller. La belle brune se recula. Une partie de ses cheveux étaient mouillés, comme sa manche de tee-shirt. — Attends. Elle se rinça rapidement les mains et les essuya. Puis, sans faire de manières, très naturellement, elle ôta son tee-shirt. Elle avait les muscles fins et longs et son ventre était plat et ferme. Le noir de son soutien-gorge ressortait sur sa peau blanche. Elle ne devait pas être du genre à se prélasser sur la plage. Ses bras, seuls, étaient dorés. Caroline délaça ses baskets et les retira ainsi que ses chaussettes. Elle fit un pas vers moi. Se ravisa, me jeta un bref coup d’œil. Et en un tournemain elle fut nue. — Ça va être plus simple, me dit-elle. Ca va pas être simple de rester ...
    ... calme, pensais-je. Elle dégrafa son soutien-gorge, dégageant ses seins ronds et fermes. Ils n’étaient pas très gros mais ses aréoles étaient cependant très larges et sombres comme si elle avait été enceinte. Elle descendit son pantalon d’équitation, révélant ses jambes, elles aussi musclées. C’était pas Mister Univers, bien sûr, mais on devinait qu’elle avait de la force. Sa culotte blanche suivi le mouvement, révélant un triangle brun, bouclé, brillant comme de l’astrakan. Pas simple du tout, même. Je m’efforçai de paraître indifférent quand Caroline me rejoignit sous la douche. Désormais libre de ses mouvements, elle se glissa sous le jet pour en profiter en même temps et entreprit de continuer à me savonner. Elle lava consciencieusement mon ventre, étala la mousse en évitant toute la zone blessée. Elle m’en remit sur le cou, l’épaule, le bras. Ses gestes étaient fermes mais restaient doux. J’appréciais. Nous parlâmes un peu de nos projets pour la matinée et je la laissai me manipuler pendant ce temps là. Caroline se glissa au fond de la douche, juste sous le jet, l’eau ruisselant en cascade sur ses cheveux, son visage, son corps. Elle se glissa derrière moi et me fit avancer contre la cloison de séparation. Là, elle savonna aussi mon dos, descendit sur la hanche, passa sa main nue sur ma fesse, dont elle parut tâter la fermeté au passage, et s’accroupissant, savonna la jambe. Elle passa une main devant et l’autre derrière, et les fit venir sur mon mollet, transformant mes ...
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