1. Ma main et moi


    Datte: 15/05/2019, Catégories: fh, ffh, fbi, Collègues / Travail médical, handicap, campagne, douche, intermast, Oral pénétratio, init,

    ... bouger, je laissai faire ses doigts. Il m’aurait été impossible de lui faire l’amour à ce moment là, mais, malgré tout, j’avais envie de prendre ses tétons dans ma bouche, de les taquiner de ma langue. Je ne pouvais que les regarder. Agréable torture. L’autre main de la jeune femme restait très professionnelle. La compresse allait et venait sur les blessures, les débarrassant superficiellement des petits grains de sable qui les martyrisaient. La jeune Barbara se rapprocha et la belle infirmière retira immédiatement sa main, ne laissant rien voir de son petit jeu. Elle leva la tête vers l’ado. — Ne t’inquiète pas. Il commence à aller bien mieux. Tu t’en es bien sortie tout à l’heure.— Ben, j’ai fait ce que je pouvais.— Non, c’est bien, je t’assure. Le compliment parut ravir Barbara. Elle devait être la plus jeune du groupe, mais elle avait vraiment bien assuré. La voiture du directeur se dessina au sommet de la côte et quelques secondes plus tard freina près de nous. En descendant de son véhicule, l’inquiétude se lisait sur son visage. A regret, je laissai partir ma belle infirmière. D’autres soins l’attendaient. Elle avait fini de poser quelques pansements provisoires sur les parties les plus atteintes et fit quelques recommandations à transmettre à sa collègue de la colo. Après avoir pris les coordonnées pour la facture, elle remonta dans son auto, non sans au passage m’avoir encore frôlé le sexe de sa main. Décidément, elle avait une façon bien à elle de vous faire ...
    ... comprendre ce qu’elle aimait. Debout au bord de la route, je la regardai s’éloigner. Cette facture, je me fis un plaisir d’aller la régler moi-même dix jours plus tard. J’avais emprunté un véhicule de service et surtout, pris une journée de congé. Mais ceci est une autre histoire que je vous conterai peut-être un jour, si vous êtes sages. Pour l’instant, je retournai à la colo. Un autre animateur prit ma place pour finir la rando et emmena les ados. Par précaution nous le suivîmes en voiture jusqu’au camping. Et de toute façon, il fallait emmener aussi les sacs. Je vous laisse imaginer la tête de Delphine. Elle avait été prévenue mais elle eut un choc quand même. Je sais qu’elle culpabilisa de s’être laissé entraîner par les ados. Mais, d’une part, cela n’aurait pas empêché ma gamelle (je l’avais eu mon looping, en fin de compte) et cela m’aurait probablement privé d’un moment coquin comme je n’aurais pas imaginé en avoir un ce matin là. Mais cette partie de l’histoire, je me gardai bien de la lui raconter. Il fut convenu que j’irais dîner avec le groupe ce soir-là mais que je reviendrais dormir au centre. Fabien, l’autre animateur, resterait avec ce groupe jusqu’à ce que je puisse revenir. J’avoue que dormir sous la tente ne me tentait pas particulièrement cette nuit-là. — Oh, la vache ! Encore pire que Terminator ! Mon retour à la colo ne passa pas inaperçu. En quelques instants, je devins un héros. Prévenus par un mystérieux instinct, ils vinrent tous me voir descendre de voiture. ...
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