1. Ma main et moi


    Datte: 15/05/2019, Catégories: fh, ffh, fbi, Collègues / Travail médical, handicap, campagne, douche, intermast, Oral pénétratio, init,

    ... découper. De toutes façons, il est foutu. Et joignant le geste à la parole, elle me débarrassa de ce qui n’était plus qu’un bout de tissu. Rassurée, ne voyant pas de blessure profonde que le vêtement aurait masqué, elle examina mon visage. — Vous allez avoir une superbe bosse près de la tempe. Sa bouche était à la hauteur de mes yeux et je voyais ses lèvres roses s’ouvrir et se fermer. Je n’écoutai pas vraiment ce qu’elle disait. Ses lèvres étaient pleines et son haleine fraîche. Un minuscule grain de beauté se cachait à la commissure des lèvres. — Vous vous êtes vraiment pas loupé. Je vais pas pouvoir vous soigner correctement ici. Je n’ai pas assez de matériel. Je vais enlever le plus gros, mais quand vous serez de retour à votre colo, ma collègue finira le travail. Elle va s’amuser. Elle prit dans son sac des compresses et les humecta, ajoutant que ça ne piquait pas, que c’était de l’alcool modifié. De toutes façons, je n’étais plus à ça près. A genoux près de moi, elle se pencha et très doucement entreprit de nettoyer mon visage. Ses gestes étaient doux, précis. Une sensation de bien-être m’envahit. J’eus une espèce de frisson, comme je le ressens à chaque fois dans ces cas-là. La jeune femme portait un chemisier blanc sur un jean. Les deux boutons du haut étaient défaits et je devinais la naissance de sa poitrine qu’elle avait menue. Je me détendis un peu, me laissant aller tranquillement. Elle écarta mes cheveux et, une main fraîche posée sur ma tête pour les ...
    ... maintenir, elle entreprit d’enlever le sang qui me poissait le front. Il lui fallut se pencher davantage vers moi. Devant mes yeux émerveillés, ses seins, libres, dansaient, dévoilés par le chemisier entrouvert. Ils étaient petits, avec une aréole couleur de miel sur la peau blanche dessinée par la marque de son maillot. J’eus une brusque érection. Elle avait dû voir mon regard, et baissant les yeux, se rendit compte de la situation. Mais elle ne fit rien pour se dérober. Au contraire, j’eus l’impression qu’elle insistait plus que nécessaire sur mon front qui n’en demandait pas tant. Moi non plus d’ailleurs. La jeune infirmière resta dans cette position pour continuer ses soins. Elle s’attaqua à mon coude, lui aussi passablement malmené. Il lui aurait été bien plus simple de se mettre à côté de moi, mais elle semblait prendre plaisir à s’exhiber. Je vis la pointe de ses seins durcir, s’allonger. Nos regards se croisaient parfois, mutins. Les ados ne paraissaient pas s’apercevoir de notre manège. À vrai dire, elles ne regardaient que vaguement dans notre direction. Libérées de l’obligation de me porter secours, elles n’avaient plus trop envie de regarder mes blessures. L’une d’elles me vit pourtant me raidir brusquement, mais je suppose qu’elle mit cela sur le compte de la douleur. Masquant le geste par son corps, l’infirmière coquine venait de poser sa main sur mon sexe. La réaction avait été immédiate. Mon érection se fit bien plus belle encore, gonflant sous la caresse. Incapable de ...
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