1. Au service (pas st secret) de Madame (4)


    Datte: 24/08/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    — Il nous faut te trouver un autre prénom. — Que Madame ne cherche pas. Pour moi, tous les noms me conviennent. Après tout, je ne suis que votre dévouée esclave. — Tu as certainement raison. Pourtant, pour ton tatouage, il en faudra un. — Pute serait alors de bon gout pour une chienne telle que moi. — Putain, non, trop vulgaire. Pas salope, il faut quelque chose qui sonne bien. — Alors un numéro, par exemple, Manon 001 — Oui, excellent, je vais t’appeler première. Et puis non, Manon te va comme un gant, mon amour. Je plonge mes doigts dans le sexe béant de Madame qui jouit sur l’instant. Allongée contre Madame, je caresse son corps qui sombre petite à petit dans un bon sommeil que j’espère remplit de rêves orgasmiques. Ma tête sur sa poitrine, j’écoute son cœur battre. En cuisine dès l’aube, je m’affaire à préparer le déjeuner de Madame. Quand j’ouvre la porte de sa chambre, elle s’étire en me souriant. Je dépose le plateau sur la table de nuit, de mes mains, je lui donne à manger comme je le ferai pour un enfant. Ma Maîtresse se laisse dorloter, je sais qu’elle aime ça. Plus tard, je lave tendrement Madame d’une éponge de mer et l’habille. Pour moi, une simple tunique à la romaine emballe mon corps avec, entre mes cuisses, la laisse choisie par Madame. Dehors, Madame m’enferme dans le coffre de sa voiture. Je ne sais pas où nous nous rendons. Dans le noir du coffre, je me sens un peu ballottée, Madame semble terriblement pressée. Elle doit rouler sur l’autoroute, la ...
    ... vitesse augmente rapidement, le moteur rugit. Soudain, Madame ralentit, elle manœuvre, elle doit se parquer. Le coffre s’ouvre, il fait nuit ou…non, nous sommes dans un parking sous-terrain. Sur mon sexe, elle attache la courte laisse. Menottée dans le dos, je la suis de près, de très près même. Un ascenseur nous fait monter bien au-dessus de la rue, juste le temps d’un langoureux baiser tendre. Quand la porte s’ouvre, j’ai un cri d’effroi. Ce doit être la déco de ce lieu qui m’effraie. J’y vois des têtes de monstres, des têtes de mort plus terriblement réalistes. Un homme arrive, il baise la main de Madame. Près de moi, il soulève ma tunique, s’amuse de mon anneau. — C’est bien, aucune trace d’infection, c’est parfait. Alors, que puis-je pour toi ma belle. — Six anneaux de plus pour elle. — Je vois, alors où les veux-tu, sur les mamelons, ses nymphes et… — Sa cloison nasale et le dernier sur sa langue. — Pour y mettre une laisse ? — Pas seulement. — Ok, je vois. Bon, toi, suis-moi. Je suis entrainée, tenue en laisse par cet homme qui semble me connaitre. D’entrée de jeu, il me dit que je vais souffrir. Je hausse les épaules, en cherchant Madame des yeux sans la trouver. L’homme me retire ma tunique, m’installe de force sur sa chaise de gynécologie. Solidement entravée, il pose des pinces sur mes mamelons, mes nymphes et ma langue. Je sens ma chair se faire durement écraser par ces pinces. D’une pince plus étroite, il tire sur ma cloison nasale, il désinfecte, d’un bocal, sort un ...
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