Au service (pas st secret) de Madame (4)
Datte: 24/08/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... revint, j’étais prête à uriner dans la voiture. Elle ouvrit le coffre et comprit immédiatement mon problème. Debout derrière l’automobile de Madame, jambe serrée, selon le vœu de Madame, je me soulageais longuement. Elle me fouettait de délicieux coup de cravache pour ne pas avoir demandé avant de monter dans le coffre. J’avais mérité cette sanction et je l’appréciais à sa juste valeur, celle du plaisir de se savoir soumise entre de bonnes mains. — On peut se la faire votre chienne ? Un coup de cravache violent atterrit sur le visage de cet homme vulgaire. Il en tomba durement sur le sol. Madame me donnait sa cravache en me montrant l’homme et délivrant mes poignets. Hautaine, sourire coquin, elle me déclare : — Je t’autorise à déverser toute ta haine sur cet homme. C’est un homme qui ne respect rien. Comme ceux qui te violèrent. Frappe ma petite Manon et frappe-le aussi fort que tu peux ! Ouiii, fais-moi mouiller ma Manon. Frappe le entre les jambes jusqu’à ce qu’il appelle sa mère. Mon premier réflexe fut un bon coup de pied sur les parties génitales de l’homme. De la cravache de Madame, je cinglais ce corps masculin, Madame m’encourageait à frapper fort en pensant à mon viol. La voix de Madame est haineuse et j’adore, cela me décuple mes envies refoulées de vengeances. La chose fut merveilleuse, mon corps se libérait, mes coups pleuvaient sur cet homme qui ne pouvait plus bouger. Je venais de me vider de ma haine dans une colère monstre sur cet homme. Son camarade avait ...
... déjà pris la poudre d’escampette. Je tenais ma vengeance et je frappais sans ne plus pouvoir contrôler mes pulsions sadiques. Je ne cessais d’hurler à ma Maîtresse que j’étais libre désormais et que je l’aimais de tout mon être. J’étais ivre de vengeance et cet homme était, pour son plus grand malheur, ma cible, celui par qui je me libérais enfin de ce viol. Quand Madame m’arrêtait, la police était sur les lieux et embarquait l’homme. Madame me conduit dans la voiture, à la place du passager. Elle m’embrassa en me caressant délicatement, tendrement. Je jouissais de me sentir libérée du poids de ce viol monstrueux. J’avais joui d’avoir frappé, battu cet homme. J’avais en moi ce sentiment très fort de pouvoir accomplir des prouesses. Dans l’instant présent, je n’avais qu’une envie, devenir encore plus soumise, plus esclave, plus chienne pour l’amour que je porte à Madame. Pourtant, près de la voiture, il me sembla qu’une délicieuse bouche m’avait longuement embrassée, que des mains très douces m’avaient caressé et je n’en gardais qu’un très vague souvenir. — Tu as été fantastique. Je t’aime ma chérie. Je crois que je vais faire de grande chose avec toi. Vivement cette vente. gmygttxz — Que Madame me pardonne si j’ai été trop violente. — Oh que non, tu as été absolument parfaite ma chérie. Ce mâle se rappellera de sa leçon. Aller on rentre. Dans la voiture, Madame se laissa aller à quelques égarements sur mon corps que je finissais de dénuder pour lui donner plus d’emprise. Madame ...