Au service (pas st secret) de Madame (4)
Datte: 24/08/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... j’enfile ma tunique, je les entends qu’ils discutent de mon tatouage. Il semble qu’il lui montre des exemples si certain semble plaire à Madame, elle ne trouve pas son bonheur. — Si Madame me le permet, je verrai bien le symbole du fouet avec mon nom d’esclave et celui de Madame en tant que propriétaire. Comme ceci par exemple. — Joli dessin, tu as là une perle, ma chérie. — Je ne le sais que trop. C’est elle qui a insisté pour être annelée entièrement. Ne bouge pas belle Première. Là, c’est mieux pour parler. Ma bouche libre de la chainette, Madame me permit d’expliquer concrètement mon dessin et de l’affiner. Ainsi, je fis trois dessins. L’un avec mon visage, le crâne rasé, un lourd collier de fer au cou, l’autre que je terminais, celui du fouet qui s’enroule sur mon corps dessiné et le troisième, plus simple, des fers avec dans les anneaux, ou sur les chaines, mon nom d’esclave et celui de ma propriétaire. Je me mettais à genou, mes mains posée sur mes cuisses pour que Madame puisse choisir librement. Elle porta son choix sans que je ne puisse savoir lequel elle avait préféré. Elle retirait la chainette qui reliait mon sexe à mon nez pour accrocher la courte laisse à mon nez. D’instinct, je plaçais mes mains dans mon dos, elles furent menottées, Madame m’embrassa tendrement comme nous aimons toutes deux. Dans la rue, elle me promenait longuement, mon corps à moitié nu. Nous croisions d’autres esclaves et leur Maîtres, si certains semblaient heureux, d’autres, une ...
... majorité, ne l’étaient pas du tout et cela nous désolait, Madame et moi. Sur une terrasse, elle prit place pour s’offrir un thé et quelques pâtisseries. Debout à sa droite, je me tenais prête à la moindre sollicitation de sa part. — Ma chérie, j’ai envie de ta belle et savoureuse langue annelée sur ma chatte. Entre ses cuisses déjà ouvertes, je me glissais pour laper son sexe exquis. Si Madame profitait d’un thé, je me régalais de sa liqueur d’amour. Je ne sais pas si l’anneau de ma langue y fut pour quelque chose, mais sa main gauche vint plonger ma tête sur son sexe sans ne plus la lâcher jusqu’à on orgasme. Dans ma bouche, elle laissait couler sa cyprine, je n’en perdais pas un goutte. On dut retirer la table pour que je puisse me relever parce qu’en buvant Madame, sans me toucher, j’avais joui et que je n’avais plus aucune force. — Rentrons ma chérie, j’ai très envie de jouer avec ton corps. Il était inutile de me demander quelle sorte de jeu, je le savais et, à mon grand étonnement, j’en étais heureuse. Durant le trajet de retour, je m’imaginais sur le chevalet, mes trous remplis, mes nymphes alourdies de poids comme mes seins et ma langue. Je me voyais aussi pratiquement suspendue par l’anneau de mon nez et Madame qui cingle mon corps, alternant, comme elle sait si bien le faire, des caresses somptueuses entre ses coups de cravache. Sans me sortir du coffre, elle profitait de faire un arrêt pour quelques courses. Cela dura une éternité et il me fallait me soulager. Quand elle ...