Au service (pas st secret) de Madame (4)
Datte: 24/08/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... longue aiguille légèrement conique. Sentant la douleur qui va suivre, je pense à Madame, dans ma tête, je lui dédie ma souffrance. Quand l’aiguille traverse ma cloison, c’est l’enfer en mon corps. Je ne peux bouger ne seraient ce que d’un millimètre. En fait, mon corps cherche à fuir ce lieu de torture alors que mon cœur insiste pour rester. L’aiguille reste en place, le temps pour l’homme d’aller prendre un anneau. Il en vérifie le diamètre, regarde l’aiguille qu’il enfonce encore un peu plus. — C’est parfait. Je vais te mettre un anneau définitif. Seule ta Maîtresse pourra t’en libérer. Un petit clic et le voilà fermer à vie. La langue maintenant. Je n’eus pas le temps de reprendre mon souffle qu’une très longue aiguille traversait ma langue de bas en haut en passant à travers la pince et ses œillets. En me perçant, il m’expliquait qu’en des temps très ancien, le blanc qui vendait une esclave noire la suspendait à une chaine par la langue avant de la laver ou, parfois de la fouetter durement. Je compris soudainement que Madame avait une occasion de plus de me conduire dans la cave. Avant de poser l’anneau, il retire sa pince et glisse l’anneau dans son orifice. Pour mes seins, il me bâillonne d’un bout de ma tunique qu’il enfonce bien au fond de ma bouche. Sein gauche, sein droite, j’ai envie d’hurler et pourtant, je ne le fais pas. Non pas que ma bouche est bouchée, mais parce que je veux me montrer digne de l’amour de Madame. L’homme le voit et me retire le bout de tissu ...
... de ma bouche. — Brave petite, on a sa fierté, c’est bien. Tu es brave. Enfin, sur mes nymphes, d’une pince à œillet, il découpe ma chair. Là encore la douleur en est insupportable. Je manque de m’évanouir. Deux gros anneaux viennent alourdir mon sexe. Tous ces anneaux en place, l’homme gicle un produit sur tous les emplacements de mes anneaux, cela permet une cicatrisation presque instantanée. Le liquide est glacial, j’en ai la chair de poule. Il ne me délivre pas pour autant. À mes seins, il fixe une chainette qui les relie. Sur mon sexe, il fait de même, reliant les deux chainettes par une troisième qui va aussi rejoindre ma langue et mon nez. Enfin, lentement, avec plein d’attention, il me possède avec délicatesse. Étrangement, sans apercevoir Madame, je me sens bien quand il va et vient en moi. S’il me délivrait mes mains, je pourrais le lui faire comprendre en le caressant. Quand il jouit en moi, il m’entraine avec lui. Après quoi, sans plus aucune salive dans ma bouche, il enfonce sa queue dans ma bouche largement ouverte pour l’accueillir. Mais sans salive, il m’est difficile de le sucer comme je le voudrais. D’une pipette, par un coin de ma bouche, il la remplit d’eau. Alors je lui donne ce qu’il veut. Madame arrive enfin, sa main sur mes seins est douce. De mes yeux, je lui souris. Je suis heureuse de lui appartenir enfin un peu plus. L’homme jouit dans ma bouche. Madame me félicite de ne pas avoir trop crié. Puis, entre l’homme et Madame, on parle cout. Pendant que ...