Au service (pas st secret) de Madame (4)
Datte: 24/08/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... ne cessait de me raconter mon exploit, les coups, là où l’homme les recevait. Je croyais que c’était Madame qui avait arrêté mon bras, en fait, c’était une policière. Il parait, et je crois Madame sur parole, que la policière m’a même embrassé tendrement pour me calmer tout en me caressant amoureusement. Je n’en ai malheureusement qu’un souvenir plus que lacunaire. — Que Madame m’excuse, mais, si je le peux, un jour, je voudrais remercier cette policière comme il se doit d’être fait. — Tu es encore plus merveilleuse qu’exceptionnelle ma chérie. C’est pour ça que je suis folle de toi. Ne t’inquiète pas, j’ai ses coordonnées. Nous ne manquerons pas de la remercier comme tu le désires, ma délicieuse petite salope. Devant la maison, elle retire le reste de ma tunique, mes chainettes. Nue, je décharge l’automobile de Madame avec son aide. Je ne sais pourquoi, mais je ne vais pas aller à la cave la subir. Une fois les courses rangées, Madame, au visiophone, s’empresse de confier nos aventures à ses amies. Près de Madame, je retire mes chaussures et me mets à genou en posant ma tête entre ses cuisses. Ma bouche dévore Madame, sa main sur ma tête me dit qu’elle adore ma bouche. Je l’entends rire en expliquant comment j’avais brutalisé avec haine et acrimonie cet homme vulgaire. Je dois dire que si l’homme avait posé la question de manière plus civilisée, Madame m’aurait prêté à cet homme. Je regrette presque qu’il se soit montrer aussi vil. Madame jouit de mes attentions, ce qui me ...
... ravit à chaque fois car je peux boire sa cyprine si abondante. Me soulevant par mon anneau nasal, elle m’entrainait dans la salle de bain. Elle retirait ses atours pendant qu’un bain bien chaud coulait. Elle m’entrainait avec elle, nous fîmes l’amour jusqu’à plus soif. Alors que nous nous prélassions dans ce bain à remous, Madame me fit un aveu. Pendant que je flagellais cet homme, elle m’imaginait en esclave punisseuse. J’avouais mon incompréhension. — Ma chérie, il y a trois sortes d’esclave, les soumis purs et durs, les soumis amoureux, comme toi et les soumis qui aident leur propriétaire à dresser d’autres soumis. Enfin, c’est ainsi que je vois les choses. Je t’imagine très bien dans la seconde et troisième catégorie. Amoureuse, tu l’es autant que je le suis de toi. Mais pour la troisième catégorie, il te faut encore apprendre à te maitriser. — Que Madame me pardonne, je ne pourrais jamais punir une femme, c’est bien au-dessus de mes forces. — Et jumbo, par exemple ? — Non Madame, pas jumbo. Des hommes aussi obscènes que cet homme sur le parking, je ne dis pas non. — C’est ce que je voulais que tu me dises ma chérie. Tu sais que tu es bandante avec tes anneaux. Je regrette presque celui sur ta jolie et merveilleuse langue. Oui, je le regrette si bien que je vais te le retirer immédiatement. — Madame ne craint pas que cela me donne trop de liberté ? — Tu rigole ma chérie, tu es une perle dans ton genre. Viens, suis-moi, je veux te le retirer et raser ta jolie tête. — Oh oui ...