1. Mon pauvre Bernard


    Datte: 17/05/2019, Catégories: jeunes, extracon, Inceste / Tabou copains, plage, campagne, jardin, fête, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, confession,

    ... y introduire l’embout. Le jet sur mon clitoris m’avait paru également susceptible de procurer des sensations que j’eus le loisir de découvrir un autre jour, seule. Pour éviter que vous vous posiez des questions sur notre apparence nous avions mis au point un stratagème : dès que vous vous êtes approchés vous avez eu droit à un arrosage en règle ce qui fait que, vous trouvant dans la même tenue que nous, tout paraissait normal. *** Son regard ! Son seul regard m’aurait amené à l’orgasme. Je fondais dès qu’il me regardait. Sa position favorite était que je m’installe dans ton Voltaire, lui assis sur la table basse, mes pieds de part et d’autre de son corps et là, ses doigts entraient en fonction. Ses doigts ! D’une main il m’ouvrait, de l’autre il me fouillait. Je ne sais pas combien il avait de doigts mais ils me faisaient monter très haut et très vite et là, je pouvais y rester tant qu’il voulait. Je n’ai jamais compris comment il faisait mais il m’épuisait. Si je n’avais pas eu le temps de quitter ma culotte, il l’écartait, et il me caressait. J’en suis toute mouillée, rien qu’en parlant de ce que me faisait ton ami Pierre. Nous étions allés un dimanche au bord de la rivière tous les quatre. Nous avions trouvé une petite plage où il n’y avait jamais personne car l’accès en était quelque peu caché. J’avais amené mon jeu de dames, j’adorais ce jeu que plus personne ne connaît aujourd’hui, et Pierre avait accepté d’être mon partenaire. Nous étions assis sur le sable, face à ...
    ... face, les pieds posés de part et d’autre du jeu, présentant ainsi le fond de ma culotte de bain de laquelle devaient déborder quelques poils de ma toison de brune. — On va se baigner, affirma sa femme et tu la suivis dans l’eau. Nous vous vîmes nager, chahuter et, à n’en pas douter vous tripoter mais Pierre ne semblant pas s’en offusquer, pourquoi m’en serais-je, moi, offusquée. Ses mains lâchèrent rapidement les pions pour de l’une écarter ma culotte et de l’autre glisser un doigt dans un lieu déjà bien humide. Et mes yeux plantés dans les siens, rapidement j’atteignis ce plaisir que lui seul n’a jamais su me donner de cette manière. Il m’élevait et, tel un cerf-volant tenu par son fil, je planais contrôlée par ses doigts. — Ils ont traversé et se sont enfilés dans le petit bois en face, me dit-il comme s’il s’agissait d’un non-événement. Car je savais bien moi, que vous alliez là-bas pour faire l’amour et qu’à votre retour vous auriez un prétexte incontestable à votre promenade sylvestre. Jamais Pierre ne m’a fait autre chose que me toucher. Je n’ai jamais vu, ni touché son sexe. Il était simplement « dactile » et je pense qu’il devait se comporter de la même manière avec Claire, sa femme et que celle-ci avait besoin, de temps en temps, d’un sexe dans le sien et le tien, pas désagréable, était disponible *** Tu te souviens de la soirée où ce chanteur connu est venu dans notre village. Nous y sommes allés avec Jacques dont sa femme était partie rejoindre sa famille qu’il ...
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