1. Mon pauvre Bernard


    Datte: 17/05/2019, Catégories: jeunes, extracon, Inceste / Tabou copains, plage, campagne, jardin, fête, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, confession,

    ... détestait. Le spectacle était en plein air et il y avait un monde fou. Nous étions compressés par la foule et nous avons eu beaucoup de mal à rester ensemble car tout le monde voulait bouger au rythme de la musique. Je me suis retrouvée collée à Jacques, son ventre contre mon dos et tu étais un peu sur notre droite, captivé par le spectacle et l’ambiance. Nous bougions, je viens de le dire, et mes fesses perçurent bientôt une émotion grandissante dans son bermuda. Il avait posé ces mains sur mes hanches, sans que je ne m’en offusque, pensant qu’ainsi nous resterions ensemble. Rien, jusqu’à présent, ne m’avait laissé supposer qu’il pourrait tenter quoi que ce soit avec moi, tant notre relation était amicale, quasi fraternelle. Je fis celle qui ne se rend compte de rien, me balançant contre lui, de haut en bas, et de gauche à droite, mais toujours en rythme ; il n’aurait pas fallu qu’il s’imagine que je l’encourageai. Ses mains, mais la foule bougeait beaucoup, glissèrent sur mon ventre pour s’y rejoindre. — Comme ça, on ne se perdra pas murmura-t-il à mon oreille.— Tu as raison, lui répondis-je. Bernard a disparu ? Ses mains sur mon ventre glissèrent sous mon T-shirt, d’une manière qui ne me parut pas voulue mais due à nos mouvements. Mais la chaleur de ces mains sur ma peau provoqua un frisson. — Tu as froid ? questionna-t-il, surpris. Et je ne lui répondis pas. Nos corps bougeaient, ses mains aussi. Elles se trouvèrent, comme par hasard, sous mes seins qu’elles frôlèrent ...
    ... quelques minutes puis sur mes seins qu’elles empaumèrent. — Et alors ! fis-je mine de m’offusquer.— Excuse-moi, je ne sais pas ce qui m’a pris, bredouilla-t-il.— Non ! Je ne t’ai pas dit que ça me déplaisait ! Et comme ça on est sûrs de ne pas perdre. Et puis personne ne peut nous voir, l’encourageai-je. Il ne se fit pas prier et ses mains reprirent leur place, mais après avoir glissé sous mon soutien-gorge. Mes tétons, déjà dressés, apprécièrent d’être quelque peu triturés. — Si Bernard te voyait ! lui soufflai-je. Et nous restâmes ainsi longtemps, un sexe en érection collé contre mes fesses et des mains très câlines sur mes seins. L’une d’elle revint sur mon ventre puis se faufila dans la ceinture de ma jupe pour aller se poser sur ma culotte. — Si Bernard te voyait ! répétai-je, sans l’ombre d’un reproche dans le ton de ma voix. Et sa main remonta, chercha le haut de cette culotte – si j’avais su, je n’en aurais pas mise – et plongea à l’intérieur, se faufila dans les poils et, un doigt en crochet se retrouva à écraser mon petit bouton qui n’attendait que ça. Il me caressa toute la soirée et heureusement qu’il me tenait de son autre bras car mes jambes flageolaient, tant le plaisir me transportait. Je glissai à mon tour ma main dans son bermuda et entrepris une caresse dont je prévoyais l’issue. Un mouchoir qu’il me tendit, permit que son explosion, qui ne tarda pas, n’ait de conséquence visible sur son vêtement. Le concert s’achevant, la foule se dispersa et, dès que nous ...