1. Mon pauvre Bernard


    Datte: 17/05/2019, Catégories: jeunes, extracon, Inceste / Tabou copains, plage, campagne, jardin, fête, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, confession,

    ... eûmes un peu d’espace, il glissa entre mes lèvres le doigt qui m’avait donné tant de plaisir. Et nous t’avons retrouvé, seul, au parking. — Mais où étais-tu passé ? te reprochai-je *** Pour lui, j’aurais pu te quitter. S’il n’y avait pas eu les enfants, je crois bien que je l’aurais fait. Les autres m’ont baisée, chopée, culbutée mais Christian, lui, il m’a fait l’amour. Avec lui, ça ne s’est jamais fait entre deux portes, à la sauvette. Lui, c’était la nuit, et toute la nuit. Les nuits où tu allais à Paris à tes salons professionnels, il venait dormir avec moi. Tu vois ! J’ai dit dormir et pas coucher. Lorsqu’il arrivait, j’étais couchée, il se déshabillait, se glissait dans le lit, me caressait, longtemps, il m’embrassait, partout, puis s’allongeait sur moi, me pénétrait et nos bouches liées, ses mains sur mes seins, son sexe dans le mien, nous ne bougions pas ; nous étions bien. Dès qu’il bougeait, qu’il se retirait, je gémissais, j’avais envie qu’il revienne, j’avais besoin de le sentir en moi et je retardais au maximum sa jouissance car je me sentais vide quand il ramollissait, j’aurais voulu le garder toujours. Je ne sais pas m’expliquer pourquoi, avec lui, il ne s’agissait pas de sexe mais d’amour. Sans doute car, à part toi, il est le seul à m’avoir dit que j’étais belle, qu’il était bien avec moi, qu’il n’aurait pas voulu me quitter. Mais il n’a jamais voulu te faire de peine. Heureusement que tes déplacements revenaient souvent et duraient en général tout le ...
    ... week-end. Il nous est arrivé de rester au lit plus de vingt quatre heures, sans manger, faisant l’amour quasiment en permanence, tantôt lui sur moi, tantôt moi sur lui. Il avait une capacité de récupération impressionnante. Il lui suffisait que son sexe soit simplement en contact avec le mien pour que je le sente se redresser et se faufiler. Et nous restions ainsi, sans bouger, l’un dans l’autre. Puis nous bougions, puis nous jouissions, puis nous recommencions. Ma peau ne supportait pas de ne pas sentir la sienne. *** Celle-ci, je te l’ai aussi racontée, je viens de m’en souvenir. À la boulangerie, tous les jours ou presque, nous nous rencontrions. Nous nous saluions et c’est tout. Je sentais bien à son regard que je ne le laissais pas indifférent mais s’il fallait s’arrêter à tous les regards ? C’était l’été, j’avais une robe verte, qui s’ouvrait complètement devant et qu’une ceinture du même tissu fermait. Lorsque je sortis, il me suivit, à quelques pas. Je ne l’entendais pas vraiment mais je le savais là, derrière moi. Je sentais son regard me déshabiller et je me mis à aimer cette situation. Je pris des rues discrètes pour arriver chez nous, et lorsque j’eus franchi le portail, je me retournais : il était là, debout, ses yeux cherchant ou un reproche ou un encouragement. Je ne fis ni l’un ni l’autre, je m’avançais vers le fond du jardin, laissant le portail ouvert, ce qui valait bien un encouragement. Arrivée près du puisard, totalement à l’abri des regards, je l’attendis, sans ...