Essais de résistance à la chaleur
Datte: 25/08/2017,
Catégories:
f,
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
profélève,
dispute,
Oral
pénétratio,
fsodo,
... Bon. Il ne semblait pas vouloir répondre. Finalement, j’abandonnai et ôtai un à un chacun de mes vêtements pour me changer et aller me coucher. Je m’aperçus dans la glace. Non, franchement. Je n’étais quand même pas si moche. Sur le canapé, le portable vibra et, dans un mouvement réflexe, et comme si on pouvait me voir, je masquai mes seins de la main droite. Bon, une réponse on ne peut plus correcte, Docteur. Je poussai un soupir désespéré. Le jeu, ça n’était pas pour ce soir. Tant pis, ou tant mieux. Mes yeux s’écarquillèrent. J’étais complètement nue. Et il me demandait de me détendre. De quoi mettre la machine en route… J’aurais pu me satisfaire de cette réponse. Je me levai pour fermer le store et éteindre la télévision. En imaginant ce qu’il pouvait se passer de l’autre côté de la fibre, je lançai un soupir. Peut-être qu’il était rentré chez lui, ou peut-être pas. Peut-être qu’il était… sur son sofa, avec un verre de rouge, une clope, sur le point de se mettre en pyjama ou bien de… Je n’eus pas le loisir de m’attarder sur le fait qu’il avait enfin mordu à l’hameçon. Je restai bouche bée. « Ou ? » Mes doigts glissèrent entre mes cuisses, effleurant les plis déjà humides, trempant mon clitoris, agaçant la peau, fragile, de mes tissus déjà gonflés d’envie. Est-ce que sa voix pouvait devenir rauque, quand il était excité ? Est-ce qu’il pouvait être pressant et empressé ? J’accélérai le mouvement, prenant de plus amples respirations, bloquant mon souffle, gémissant, alors ...
... que tout était de plus en plus humide, de plus en plus trempé, de plus en plus brûlant. Sa bouche, j’aurais volontiers dévoré sa bouche et mordu dans la chair de ses épaules, et j’aurais bien voulu sentir ses doigts à la place des miens, ou sa langue. Il pouvait sûrement parfaitement lécher une chatte, avec toute la délicate violence propre à l’excitation. Il pouvait aussi peser sur moi, en m’embrassant comme s’il avait voulu avaler ma langue, ou respirer avec mon souffle, et me pénétrer, violemment, passionnément, pour me remplir complètement. J’étouffai un gémissement et fermai les yeux à en avoir les paupières douloureuses pendant que, dans un dernier « Philippe » murmuré, la délicate alchimie de l’orgasme diffusait ses molécules calmantes dans tout mon bas ventre, et jusqu’à mes méninges. Je m’assoupis quelques minutes, avant d’être réveillée par une nouvelle sonnerie. Il s’était peut-être dégonflé, mais j’eus un sourire en tirant un plaid sur mes épaules : il ne savait pas que, grâce à lui, j’avais décroché un bien bel orgasme.« Bonne nuit, Philippe. Merci. » Il ne saurait sûrement pas non plus pourquoi je le remerciais, mais j’aurais aimé savoir, moi, s’il avait vécu, en parallèle, la même parenthèse. —ooOoo— Pas de rouge, pas de vert. Une robe noire ? Non, plutôt bleu nuit. C’était plus classe, et plus sage aussi. Après tout, je ne savais pas vraiment où je mettais les pieds, dans cette « Soirée de remise des diplômes de Master 2012-2013 – Filière textile et fibres ». Je ...