Essais de résistance à la chaleur
Datte: 25/08/2017,
Catégories:
f,
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
profélève,
dispute,
Oral
pénétratio,
fsodo,
... C’est celle de Philippe, qui me laisse le souvenir le plus précis : « Est-ce que vous avez mis en rapport les actes du colloque de janvier à Milan avec vos recherches sur les résistances ? ». Non, non je n’avais pas mis en rapport les actes du colloque de janvier à Milan avec mes recherches sur les résistances. Je n’avais pas eu le temps de le lire. « Allez savoir pourquoi », j’avais rajouté. C’était justement ces actes que relisaient Philippe, juste avant… J’avais eu un sourire. Lui aussi. Il était excitant. Finalement, la journée avait filé comme un éclair. « Très honorable », avait conclus le jury. Voilà, j’étais docteur. Eh bien, ça ne faisait pas plus d’effet qu’une douche tiède. Je rentrai chez moi, à pieds. Je pris une douche, tiède. En regardant par la fenêtre, je vis la voiture de Philippe, garée devant l’entrée de la résidence. Il tirait sur sa cigarette, comme d’habitude, en jetant des regards à droite et à gauche. J’avais préparé mes affaires. Je fermai l’appartement et descendis pour me trouver face à lui, le regard interrogatif. Il afficha un sourire franc, pour une fois, et jeta mon sac sur son épaule. — Tu crois vraiment que tu auras besoin de vêtements ? Il écrasa sa clope au sol, et sa bouche vint prendre la mienne. Mon estomac se crispa, mon bas-ventre me lança. « Encore ». — Chose promise, chose due, conclut-il. —ooOoo— Ah, oui. Je n’avais pas eu le loisir de repenser à ce qu’il s’était passé ce soir-là. Le fameux soir où « je n’avais pas eu le temps de ...
... mettre en rapport les actes du colloque de janvier à Milan avec mes recherches sur la résistance ». Pourtant, je peux décrire chaque détail, même infime, de la scène. Juste après cet échange de reproches, il tourna donc la clef dans la serrure, et tâtonna violemment pour trouver l’interrupteur et éteindre la lumière. Il faisait nuit. Mes lèvres s’ouvrirent largement et sa langue s’imposa contre la mienne. Dans un grognement, je sentis son corps se décrisper. Je n’étais pas détendue pour autant. Je le haïssais de mettre des pulls. Je fis passer le vêtement par-dessus sa tête, désordonnant encore davantage ses cheveux déjà en pétard. En bon petit fiston à maman, il avait mis une chemise sous son pull. Je bataillai un court instant avec les boutons, puis décidai d’une méthode plus radicale : je l’ouvris violemment, sans me soucier des boutons qui s’éparpillèrent au sol. Dans l’action, j’avais profondément ratissé la peau de son torse avec mes ongles pourtant courts. Il saignait, un peu. Je passai la pointe de ma langue sur ces blessures inconsciemment volontaires alors que sa chemise tombait au sol. L’odeur du sang me vint au nez. Il saignait pas mal, en fait. Je m’en foutais. Il m’excitait encore davantage. Sans se démonter, il dégrafa mon jean et plongea sa main droite dans ma culotte. J’étais trempée et il l’avait remarqué. Il eut un nouveau grognement et emporta ma bouche, mordant ma lèvre inférieure. — Fourre-moi tes doigts, arrête d’hésiter, tranchai-je. Je crois que ce ...