Offert à mon admirateur
Datte: 18/05/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... leçon de la journée. - Oui... J'en rêve depuis si longtemps. - Très bien. Mets-toi en position de soumission." Je m'arrangeai, cependant que Lucas, posant sa main sur ma tête, me força à la plaquer contre le sol. Impatient d'être empalé, je levais mon cul le plus haut possible, cambrant au mieux mon dos afin de lui offrir le plus beau spectacle possible. Il utilisa la cordelette pour sceller mes poignets dans mon dos. Prit quelques photos, et s'empara du tube de lubrifiant afin d’en verser un peu sur ses mains. Puis, attrapant ma fesse gauche d'une main, il m'inséra l'index le plus profondément possible. Je comprenais mieux, désormais, pourquoi il avait vérifié la propreté de mon intimité au sortir de la douche. Il m'arrivait fréquemment de me masturber cet endroit de mes mains, aussi n'eût-il pas beaucoup à travailler avant de glisser un deuxième doigt. Lorsque, finalement, il ôta ses deux doigts, j'étais fébrile. Les secondes semblaient des heures, je l'entendais enduire son sexe de lubrifiant, je n'en pouvais plus d'attendre. Puis, enfin, frotta son colosse dans ma fente. La sensation était merveilleuse, c’était à la fois chaud, raide et humide. Meilleure encore lorsqu'il colla son gland sur mon trou avant, enfin, de l'enfoncer d'une poussée du bassin. Son assaut me fit basculer en avant, bien qu'il m'eût tenu par les poignets, m'arrachant un gémissement plaintif, mélange d'extase et de souffrance. Les premiers coups de butoirs furent douloureux. Puis, peu à peu, la ...
... douleur laissa à place au plaisir. Un plaisir intense, se répandant par ondées dans tout mon corps. Je ne pouvais me retenir de couiner à chacun de ses assauts. Il allait crescendo, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Le stoïcisme de Lucas laissait place à une bestialité primaire qui me surprenait au plus haut point, sans pour autant me déplaire. Lucas, que j'avais connu initiateur méthodique, réfléchi, devenait animal en rut : et c'est sur moi qu'il avait décidé de passer ses pulsions. À chaque attaque il me gratifiait d'une grande fessée, ou bien s’agrippait fébrilement à mon fessier, le pinçant à m'en faire mal. Lorsqu'il accéléra encore la cadence, je crois que je n'avais plus réellement conscience de qui j'étais, ni d'où j'étais ou de ce qui m’arrivait. Tout n'était qu'un tourbillon de lubricité, de sexe, de sueur et de fornication. C'est enfin le ralentissement de ses mouvements qui me ramena dans un état de semi conscience. Juste à temps pour sentir les flots de sperme déversés en moi, me remplissant parfaitement le fondement. Lucas s'allongea sur moi, dans un mélange de sueur. Tous deux à bout de souffle, nous restâmes ainsi, lui en moi, moi à sa merci, pendant plusieurs minutes. Tout à coup, il retira son pénis redevenu flasque, et se releva, digne. Lorsque son vit s’ôta de moi, je sentis le foutre dégouliner de mon trou. Tout à fait revenu à son stoïcisme naturel, il saisit son appareil, et reprit sa manie photographique. Ces clichés ne devaient pas être glorieux ...