1. Cuir...


    Datte: 18/05/2019, Catégories: fh, inconnu, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine,

    ... poitrine. Alors que sa tête lui dit de fuir, elle tend la paume de sa main vers l’inconnu et la pose sur son cœur. Elle sent alors les battements de celui-ci au travers de ses muscles, et pose son autre main sur lui, comme pour se convaincre de son existence. L’homme ne bouge pas, reste immobile, et Laurence se laisse aller à caresser le buste de l’inconnu à travers sa chemise, ressentant chacun de ses muscles, chacune de ses respirations. L’envie est trop forte pour elle, la situation trop excitante, et avec ses doigts elle défait un à un les boutons de la chemise pour libérer l’inconnu. Elle se rapproche alors pour sentir et s’enivrer de son odeur. Un coup de vent fait vaciller la lumière du couloir mais pas assez pour qu’elle puisse voir son visage, elle perçoit juste un semblant de sourire sur des lèvres fines. Laurence a été trop loin pour s’arrêter maintenant, elle profite du spectacle et de cet homme qui lui est offert. Elle dessine des motifs irréels en promenant ses doigts de ses épaules à son ventre. Sans relâche elle s’applique à connaître chaque recoin du torse de l’inconnu, comme un sculpteur réalisant le buste d’un héros antique. Par moment elle s’effraie de la situation, se voit, jeune femme sortant d’une séance d’athlétisme, avec son petit short Adidas et son débardeur, face à un inconnu dans un lieu désert. Mais elle n’a pas envie de fuir, au contraire, elle en veut plus, et vient poser sa main sur l’entrejambe de l’inconnu. Elle sent le sexe durci battre ...
    ... contre sa paume. Et s’amuse avec lui en faisant de petits mouvements avec ses doigts. Mais l’inconnu ne se laisse pas faire longtemps, il prend sa main, l’entraîne dans un box désert et la pousse dans la paille qui jonche le sol. En se retournant, Laurence voit l’homme qui se tient dans le coin du box, le peu de lumière pénétrant dans celui-ci n’éclairant que son buste. Il se saisit alors d’une longue cravache accrochée au mur. Laurence est allongée et sur le dos, le regard perdu vers l’inconnu, et le voit amener le bout de la cravache sur ses seins. Elle est presque dans le noir et se demande un instant comment il fait pour voir aussi bien, puis il descend sur ses flancs et lui déclenche un gémissement de plaisir. Laurence se laisse faire, accoudée sur la paille, les cuisses écartées, et l’homme vient rapidement lui offrir ce qu’elle attendait en caressant son sexe. Le bout de la cravache glissant sur le tissu de son short comme dans fourreau. Laurence se cambre de plaisir, les yeux fermés elle savoure les caresses par procuration de l’inconnu. Elle en veut plus et enlève son débardeur, puis le soutien-gorge qu’elle portait. Le petit morceau de cuir vient alors caresser ses seins offerts, et son corps tremblant ruisselle de transpiration. Elle est proche de la jouissance et veut s’offrir complètement à cet homme qu’elle ne connaît pas. Elle enlève alors ses derniers vêtements et, complètement nue, se met à quatre pattes, tournant le dos à cet homme dont elle ne connaît que ...
«1234...»