1. Cuir...


    Datte: 18/05/2019, Catégories: fh, inconnu, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine,

    ... quelques parties de son corps. Mais l’excitation ressentie en caressant son buste, et le souvenir de sa main sur sa queue dressée suffisent à mettre Laurence dans un état de transe. Elle sent alors la cravache glisser sur ses fesses, et entre ses cuisses. Elle se cambre rapidement, comme pour caresser le cuir, et jouit en un éclair. Son corps trésaille, s’immobilise, puis se détend. Elle s’effondre alors dans la paille, pleine de sueur, et garde en elle ce moment. Elle entend l’inconnu faire quelques pas à côté d’elle puis sent une couverture la recouvrir. Elle ne veut pas ouvrir les yeux, le mythe d’Orphée et Eurydice lui revenant en mémoire, elle craint que l’homme ne disparaisse si elle ouvre les yeux. Elle attend alors de longues minutes que seul le bruit des chevaux ne trouble la nuit avant de se rhabiller et de partir pour rentrer chez elle. Ce n’est qu’arrivée dans sa chambre qu’elle découvre dans son sac de sport le numéro de téléphone de l’inconnu. Le lendemain, au moment où le ciel peine à percer les nuages matinaux pour annoncer le lever du jour, elle s’empresse d’allumer son téléphone. Elle a réfléchi toute la nuit à ce qu’elle devait faire de ce numéro, hésitant à le jeter, puis se ravisant finalement. Après plusieurs essais de messages qui ne lui convenaient pas, elle se décide à lui écrire : Les quelques minutes avant de recevoir une réponse lui semblent des heures et au final elle ne reçoit qu’un simple« ok » qui laisse à nouveau planer le doute sur ...
    ... l’inconnu. La journée ne fut qu’une succession de questions sans réponses et de scénarii plus ou moins compliqués qui lui traversaient l’esprit. Cet homme lui plaisait, ça elle le savait déjà, mais le « premier rendez-vous » avait été très intense et elle souhaitait qu’il se dévoile autant qu’elle pour le second. La question qui l’obsédait le plus était de savoir à quoi il ressemblait, même si elle reconnaît un certain trouble à l’idée que l’homme sans nom était également sans visage. Le soir venu elle dut se rendre à l’évidence qu’on ne pouvait pas tout prévoir, en effet un orage violent était de la partie. Laurence eut bien du mal à arriver jusqu’aux écuries et les chevaux manifestaient leur peur à chaque éclair traversant le ciel. Contrairement au calme de la veille, tout n’était que bruit. Le vent sifflait et la pluie martelait le sol, tandis que le tonnerre grondait à chaque fois qu’on ne s’y attendait pas. Elle pénétra dans les écuries, le manteau complètement trempé, et se dirigea rapidement vers le box où elle comptait retrouver « son » inconnu. Elle le reconnut rapidement, il se tenait à l’entrée du box et lui tournait le dos. De cette façon il lui apparut encore plus imposant que la veille, ses épaules larges dessinant un dos impressionnant. Elle s’approcha sans faire de bruit et une fois arrivée à sa hauteur ne dit que quelques mots. — Ne te retourne pas. Au moment où ces mots sortirent de sa bouche, elle se rendit compte que c’était la première fois qu’elle lui parlait et ...
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