Cuir...
Datte: 18/05/2019,
Catégories:
fh,
inconnu,
fsoumise,
hsoumis,
fdomine,
hdomine,
... se trouva dès lors trop directe. Elle était excitée par tout ça mais ne voulait surtout pas passer pour une maîtresse sado-maso, en général elle est plus attirée par la tendresse. Un peu perdue, elle ajouta donc à ses premiers mots un « s’il te plait » qui firent sourire les deux amants au même moment. L’homme ne bougea pas, et elle sortit alors un bandeau de la poche de son manteau. Doucement elle prit les poignets de l’inconnu et les lui attacha dans le dos. Au vu de sa musculature, il fallait qu’il soit de bonne composition pour que le jeu continue, car il aurait vite fait de se libérer de ses liens s’il le souhaitait. Mais il se laissa faire, et quand Laurence banda ses yeux, il se laissa faire également. Il fit même mine de trébucher quand elle le poussa au fond du box. Laurence le retourna face à elle et malgré l’obscurité commença à discerner une partie de son visage. Mais le bandeau qu’elle lui avait mis en couvrait la plus grande partie. Elle partit et le laissa là quelques minutes. Quand elle revint enfin, elle avait un seau d’eau et une éponge à la main. L’eau était tiède, mais quand elle essora l’éponge au-dessus du visage de l’inconnu il eut tout de même une moue d’incompréhension avant de sourire. Laurence entreprit alors de le laver complètement, sans le déshabiller, et s’attela à la tâche avec la plus grande des ferveurs. Elle prit même beaucoup de plaisir à passer l’éponge sur le torse, regardant la chemise se gorger d’eau, ainsi que sur le pantalon de ...
... l’homme, où le tissu humide dessinait la forme grandissante de son sexe. C’est là qu’elle s’attarda d’ailleurs le plus, comme si elle frottait une lampe magique en espérant qu’un génie exauce ses vœux. Le seul qu’elle avait en ce moment était de voir cet homme nu et une fois qu’elle l’eut complètement trempé, elle put tranquillement le déshabiller. Elle prit tout son temps, profitant du spectacle, particulièrement des parties qu’elle n’avait pas vues la première fois. Comme elle lui avait attaché les mains elle ne put qu’ouvrir la chemise, le pantalon par contre tomba au sol, et le boxer en dessous fit de même. Sa queue était bandée à tout rompre, elle s’en rendit compte en l’aspergeant d’eau, ce qui eut pour effet d’arracher un gémissement de plaisir à l’inconnu. Ce fut alors son « moment de vengeance », et elle se saisit de la cravache pour amener son homme aux portes de la jouissance sans le laisser jouir. Elle caressa tout son corps avec le morceau de cuir, s’attardant sur son torse et son sexe, rythmant le déplacement de l’objet avec les râles de jouissance qu’elle percevait. Mais le supplice commençait à la faire souffrir elle aussi, et la vision de ce sexe bandé livré à lui-même la faisait saliver d’envie. Elle se déshabilla et demanda à l’inconnu de s’agenouiller, puis se mit à quatre pattes devant lui. Avec ses fesses elle caressait la queue de l’homme, jusqu’à la sentir prête à jouir. Elle fit alors un rapide mouvement de bassin pour la présenter à l’orée de son sexe et ...