Les machinations de Laure (3)
Datte: 19/05/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... que c’est ta fille, Franck. Pas ta fille. Tu sais bien que c’est la règle. Pas les ascendants ni les collatéraux des copains. — On ne pourrait pas faire une exception à la règle ? Une seule ? Tu comprends, je te fais confiance, je t’ai vu avec d’autres, je sais que tu sauras comment t’y prendre. — Tu m’en demandes beaucoup. Ce n’est pas dans nos habitudes. — Je vais t’en demander encore plus. J’ai bien réfléchi, mais je pense que ce serait mieux que tu viennes chez moi pour ça. — Chez toi ? Non, non, non. Ça non. Tu sais bien, pas question de nous croiser en-dehors du club. Tu connais la consigne. — Non mais c’est juste pour cette fois. — Je ne veux pas savoir où tu habites. Je ne veux pas savoir qui tu es. Si jamais quelque chose arrive à cette môme par la suite, je serai suspect direct. Tu sais bien que toutes ces règles sont pour nous protéger nous. — Bon. Je te propose un truc. On se retrouve quelque part. Je viens te chercher en voiture. Tu me donnes l’adresse, et j’arrive. — Quand, maintenant ? — Tu as autre chose à faire ? — Pas vraiment, mais... — Tu montes dans ma voiture, et discrétos je te couvre les yeux, ou je t’enferme dans le coffre, ou quelque chose. Je t’amène chez moi. Personne ne te verra. Je ne t’enlèverai ton bandeau que dans la chambre. Là, tu feras ce qu’il faut pour que ma fille s’amuse bien, et découvre l’essentiel. Et après, retour, même cinéma. Tu ne sauras pas où j’habite, ni rien. Et personne ne l’apprendra. — Ce n’est pas raisonnable, Franck. — ...
... C’est ma fille. Tu comprends que j’aie du soin d’elle. Il hésita en silence, et je sus que c’était gagné. Je le connaissais assez. Finalement, il lâcha. — Cinquante-trois, rue Léo Lagrange. Tu vois où c’est ? — Je vais trouver sur mon GPS. — C’est dans le quartier des Palounières. — Ah, OK. J’en ai pour un gros quart d’heure. — Ne me dis pas ça, Franck. Tu me donnes un indice. — Je te mens peut-être. — Ouais, ouais. A tout de suite. J’avais à peine coupé la conversation et commencé à sortir de la chambre de ma fille pour descendre l’escalier et sortir de la maison, que Laure, sur mes talons, me déclara : — Pas dans ma chambre. — Comme tu voudras. — En bas, dans le salon. — D’accord. — Tu resteras avec moi tout le temps. — Promis. — Il s’appelle comment ? — Je ne te le dirai pas. Nous enfreignons déjà beaucoup de règles. — Papa, je serai en train de baiser avec lui dans trente minutes. Sous tes yeux. Dis-moi son prénom. Juste son prénom. Je soupirai en enfilant mon manteau. — Philippe, lâchai-je. Il s’appelle Philippe. J’arrive avec lui dans une petite demi-heure. Tu seras prête. — T’inquiète pas. C’est seulement plusieurs mois plus tard que Philippe devint un vrai problème. Ce soir-là, il se montra à la hauteur de l’espérance que j’avais mise en lui. Quand nous entrâmes dans le salon, il avait toujours son bandeau sur les yeux. Ce que je n’avais pas imaginé, c’était que Laure nous attendrait, intégralement nue, sur le canapé du salon, non sans avoir elle-même noué un épais ...