Les machinations de Laure (3)
Datte: 19/05/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... foulard bleu marine autour de son crâne. — Je veux que tout soit très clair, dit Laure avant que Philippe et moi n’ayons mis un orteil dans le salon. Si je jouis, j’enlèverai mon bandeau. Peut-être. Si j’ai envie. Sinon, je le garde. Comme ça, je ne saurai rien de ton visage. Ni toi du mien. — Alors, je garde mon bandeau aussi, dit Philippe. Pas de jaloux. Laure se leva du canapé et marcha en direction de la provenance de la voix de Philippe. J’enlevai mon manteau, ma veste, et m’installai dans le fauteuil qui faisait face au canapé. Je ne perdrais rien du spectacle. Laure avait rejoint mon invité, et colla son corps contre le sien, lui déposant un léger baiser sur la bouche. Les mains de Philippe caressèrent les fesses, remontèrent le long des hanches, effleurèrent les seins. Philippe, attentif, s’exclama entre deux baisers : — Mais tu es une vraie bombe ! Laure ne répondit rien : ses doigts, prestes, dégrafaient la ceinture et le bouton du jean. Le pantalon, le slip de Philippe dégringolèrent. Je connaissais bien Philippe et je l’avais déjà vu de nombreuses fois dans une situation intéressante, mais je ne me souvenais pas lui avoir connu une telle érection, sauvage, mutine. Le gland rubis se gonflait de superbe. Déjà, Philippe ôtait son T-shirt pour serrer Laure contre lui. — Voilà ce que je te propose, miss, dit-il. Je vais commencer par te faire l’amour. Je veux te faire jouir d’abord. Aussi fort que tu le pourras. Et après, je t’enseignerai la base. Ça te convient ? ...
... Laure répondit : — Attends, d’abord, je veux vérifier un truc. Elle avait saisi l’érection remarquable de Philippe et, sans plus de manières, s’agenouilla devant lui pour le prendre dans sa bouche. Les lèvres engloutirent le gland, descendirent à peu près à mi-hauteur, remontèrent, tentèrent de redescendre en poussant le plus loin possible, et remontèrent à nouveau. Sa menotte tenait toujours la base du phallus bien en poing et, même en y mettant toute la bonne volonté du monde, elle ne parvenait pas à rejoindre son index de ses lèvres : Philippe était juste fabuleux, ce soir-là. Laure remonta d’un coup, recrachant toute la chair qu’elle avait pu prendre en bouche, et dit : — Ouais, c’est ça. Tu es deux fois plus gros que mon mec. Je sentis sa voix frémir d’excitation. Elle ajouta : — Attends une seconde. Laissant Philippe planté au milieu du salon, parmi ses vêtements épars, elle alla s’asseoir dans le canapé, et se cala entre le dossier et l’accoudoir. — Papa, tu es là ?, demanda Laure. — Je suis là. Elle tourna la tête vers Philippe et dit : — Viens, maintenant. Ainsi le premier orgasme de ma fille coïncida avec ses premiers pas vers la débauche et le libertinage qui, deux ans plus tard, seraient devenus son quotidien. Philippe se surpassa, magistral de bout en bout, pendant deux bonnes heures au cours desquelles, j’en suis sûr, il amena Laure à l’orgasme au moins une demi-douzaine de fois. Enfin, il eut la présence d’esprit de sortir d’elle pour éjaculer, lui inondant le ...