Luxe, tempête et volupté
Datte: 20/05/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
hotel,
voyage,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
Oral
pénétratio,
fsodo,
fouetfesse,
journal,
... de me payer une chambre dans un B&B pour mon déplacement. Caroline m’y rejoint, nos journées de travail respectives terminées. Nous retrouvons bien vite nos habitudes d’amants et ce n’est pas sans émotion que je vois son corps se découvrir de ces atours de dentelles. Elle me subjugue, et c’est son visage enjoué qui vient parfaire le tableau. Ayant retenu la leçon, je me fais plus directif, et observe avec délice le rouge lui monter aux joues quand je la prends comme elle le désire. Mon visage dans ses cheveux, ma bite rendue raide et grosse en elle, accueillante et humide. Je vis des heures merveilleuses au rythme de son corps (j’allais dire de ses hanches), perdu dans son parfum, dans ses yeux, ses mains… De nouveau un flash me saisit (parfaitement, on peut être saisi par un flash), elle est au bord du lit, elle se rhabille et me regarde, interrogative. Qu’ai-je dit ? Pourquoi me regarde-t-elle ainsi ? J’ai oublié. Par contre, sa posture infiniment délicate, son beau visage, magnifié par l’amour à peine fait, ses vêtements juste remis, font d’elle une incarnation terriblement concrète de l’érotisme. Je suis sous le charme. Je ne le dis pas. À tort, pourquoi diable ne pas dire les choses positives auxquelles on pense aux personnes qui nous sont chères ? Mon téléphone sonne, c’est le numéro de Caroline. — J’ai envie de venir te voir chez toi cette fois.— Chez moi ? Mais tu sais bien que…— Oui, dans ta ville, quoi…— Mais c’est fou, c’est très risqué ; si jamais il y a un ...
... problème sur la ligne de train et que tu te retrouves bloquée, comment tu vas faire, avec ta fille, ton conjoint… ?— Je vais lui dire que je viens te voir. Moments où l’on sent sa vie basculer. Ma maîtresse me met au pied du mur. J’ai un sourire. Je vais devoir tout assumer. Je vais devoir aussi voir ma femme et mes enfants s’éloigner de moi. Tiraillements. Impossible. Je ne souris plus. Mes fuites, mes aveuglements, mes mensonges me reviennent en pleine figure. — Je vais lui dire que je viens voir ton dernier projet, celui que tu développes dans ta boîte.— Mais ça va passer, comme excuse, tu penses ?— Pourquoi pas ? Non, elle ne veut pas tout éclaircir et provoquer un tremblement de terre dans nos vies. Ma lâcheté s’en trouve toute ragaillardie. Il faudra bien pourtant, un jour ou l’autre, affronter nos comportements, nos trahisons. Et si possible à notre façon, pas parce que nous nous serons fait prendre… Nous sommes un peu comme cet homme qui, en pleine chute libre, dit : « Jusque-là, ça va ! » Pourquoi faut-il que la vie soit si compliquée ? Le rendez-vous est pris. Juste un détail : s’il m’est délicat de lui faire l’amour chez elle, j’en suis proprement incapable chez moi (on a les limites qu’on peut). Aussi, je demande à un ami s’il peut me laisser son appartement pour la journée. Il accepte. J’emmène Caroline chez lui. Nous prenons notre temps, nous nous dégustons. Après avoir fait l’amour, nous prenons notre douche. Habillé avant Caroline, je la vois qui s’approche de moi, ...