1. Luxe, tempête et volupté


    Datte: 20/05/2019, Catégories: fh, extracon, hotel, voyage, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, Oral pénétratio, fsodo, fouetfesse, journal,

    ... visiblement pas rassasiée. Elle m’embrasse, puis se penche, glisse contre mon ventre et finit sa course tout contre mon sexe tout étonné. Mais l’étonnement ne dure pas, et lentement les baisers de mon amante rendent sa fermeté à mon vit qui pointe maintenant vers le plafond. Elle en profite pour l’attirer encore plus à elle et l’embouche goulûment. Sa main s’active à la base de mon sexe et sa bouche enserre maintenant la base de mon gland. J’aurais pu tenir comme ça, je le jure, mais elle m’a regardé. Et son regard m’a foudroyé. Il y a tellement de force dans ces regards où l’on ne sait plus très bien qui dirige et qui subit, qui prend le plus de plaisir… En tout cas, avec ses yeux plantés dans les miens et ma queue plantée dans sa bouche, j’ai dû vite l’avertir que le jeu serait bientôt fini, juste avant de jouir au fond de sa bouche qu’elle a laissée autour de mon chibre. Puis elle s’est relevée lentement et approché sa bouche de la mienne. Quelle perversité délicieuse de récolter le fruit de sa propre jouissance aux commissures de lèvres aimées… Cette fois, la collègue de Caroline est malade et garde le lit (qu’il nous sera pour le coup difficile d’utiliser sans être inopportuns…), et nous ne voulons pas aller non plus chez Caroline pour notre rendez-vous coquin. C’est donc vers un hôtel proche de la gare que nous nous dirigeons. Passé le moment peu agréable de l’éventuel jugement du réceptionniste, j’ai dans ma main la carte pour une chambre disponible jusqu’à 14 h. À ...
    ... peine la porte refermée, nous tombons dans les bras l’un de l’autre et, comme au premier jour, nos vêtements se rejoignent très vite dans un joyeux bazar au pied du lit. Après quelques minutes, Caroline se lève pour boire quelques gorgées de la bouteille d’eau qu’elle a laissée sur le petit bureau. Elle me tourne le dos et, sans plus y penser, je m’approche d’elle. Quand elle a fini de boire (même ma goujaterie a des limites !), je la prends dans mes bras. Toujours tournée, elle est un peu surprise, surtout quand je lui demande de se pencher. Ce faisant, mon sexe turgescent trouve le sien et le pénètre alors. L’excitation que je ressens est décuplée (même si on peut discuter de ce facteur 10…) par ce miroir sur le mur en face que me rend l’image si troublante de mon amante prise par-derrière. Je la malmène, la faisant se pencher un peu plus. Le petit bureau sur lequel elle prend maintenant appui tape contre le mur, et je suppose que j’en tire plus de satisfaction qu’un hypothétique voisin… En tout cas, elle est magnifique : depuis ses fesses sur lesquelles je bute à ses seins et ses cheveux qui bougent en cadence… De retour sur le lit, je la monte maintenant, elle allongée sur le ventre et moi la chevauchant. J’agrémente ma saillie de fessées sonores et variées. Il me semble que nous y prenons goût tous les deux si j’en crois les réactions de nos corps. De temps à autre, je vois apparaître entre ses globes pâles mis à rude épreuve son trou étoilé juste au-dessus de son sexe que ...
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