1. Le garde du corps - Fin


    Datte: 22/05/2019, Catégories: fh, ff, frousses, Collègues / Travail uniforme, amour, Oral policier,

    ... de lui mettre un pansement sur la figure. — Ça va, championne ?— Oui, ce n’est pas grave. J’en ai vu d’autre. Le pompier intervient. — Vous aurez probablement une petite cicatrice, mais rien de bien méchant.— Super… Je vois François. — Excuse-moi, je reviens. Je vais vers lui. — Bon, eh bien on l’a eu, au final. C’était super chaud.— Tu peux le dire. Ça va, toi, et ta Star ?— Quelques bleus peut-être, rien de bien significatif. On va voir comment elle digère ça, maintenant.— Oui. On va lui trouver un soutien psycho. Dis donc, Michel Harold, on s’est méchamment planté. Il nous a baladé jusqu’à la dernière seconde.— Oui. Il a agi comme un commando entraîné. C’est quoi son passé, au juste ?— On n’a pas eu assez de temps pour tout contrôler, mais je sens qu’on va tomber de haut. Bon, je maintiens le dispositif en place, à ton avis ?— Franchement ? Je ne pense pas que ce soit utile, c’était bien Harold la menace. Et il l’a mise à exécution, finalement.— Oui. Il devait être vraiment déséquilibré, le gus. Et sacrément efficace aussi. C’était tangent.— Tu peux le dire…— Tu diras à la lieutenant que tout est clair avec le Préfet, elle n’a rien à craindre de sa hiérarchie, à part peut-être une médaille. La cinquième chanson est lancée. Marlène assure, ses musiciens aussi. Les choses reprennent un cours normal. — Ok, je vais lui dire. Je rejoins Florence. Elle a meilleur mine, juste un petitstripping sur la pommette. — Flo, mon boss a parlé au Préfet, tu n’as pas de soucis à te faire, ...
    ... tout est clair pour lui.— Ah. Ouf. Ça fait drôle, de tirer sur quelqu’un…— C’était la première fois ?— Oui.— Alors, dis-toi que si tu ne l’avais pas fait, lui, il t’aurait descendue, et que tu serais morte à l’heure qu’il est. Tu verras, ça déstresse— Si tu le dis…— Bon, on lève le dispositif. Bouge pas, je reviens. Je pars chercher Sandrine, l’habilleuse. Je la retrouve dans la loge de Marlène, elle range les valises qu’avait apportées Amélie. Ok, c’était pour faire à l’arrache une tenue de scène avec le gilet. Beau boulot, soit dit en passant. — Sandrine, par hasard, vous n’auriez pas un T-shirt ou une chemise pour Florence, la sienne a du sang partout…— La flic ? Celle qui a eu le salopard ?— Elle-même.— Bougez pas…. Elle ré-ouvre une valise, fouille un peu, et en sort une chemisette à frange blanche, en soie. Elle brille. — Ça devrait lui aller. Peut-être un peu juste, niveau largeur d’épaules, mais bon…— Génial. Merci. J’apporte la chemisette à Florence. — Tiens, mets ça, tu feras moins peur au cocktail !— Oh, c’est joli. Ah non, j’ai un soutien-gorge noir, on va le voir à travers…— C’est toujours mieux que du sang, tu ne crois pas ?— Ou alors, je l’enlève ?— Hmm… Il y aura la presse tout à l’heure, tu vas faire la une des journaux coquins…— Tu n’as pas tort. Elle se lève, enlève sa chemisette souillée, et enfile l’autre. Elle lui va super bien. C’est vrai que niveau épaules… — Il ne faut pas que je fasse des grands gestes, sinon… crac !— Il suffit que tu puisses porter ...
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