Le garde du corps - Fin
Datte: 22/05/2019,
Catégories:
fh,
ff,
frousses,
Collègues / Travail
uniforme,
amour,
Oral
policier,
... libère, me relève. Je lui mets une petite claque sur les fesses. — Allez, douche, et boulot. Elle ne bouge pas, elle continue à faire saillir ses muscles… Elle soulève ses fesses des coussins en se cambrant un peu. — Dis-moi, tu as l’air d’apprécier mes fesses, je me trompe ?— Elles sont magnifiques, fermes, musclées, et très féminine aussi. De pures merveilles.— Marlène m’a dit que tu avais flashé sur les siennes. C’est vrai qu’elles sont magnifiques, les siennes.— Oui, vous êtes différentes, mais très belles toutes les deux. Et avec de très belles fesses aussi.— Et il paraît que ce soir, après le concert, tu feras l’amour avec elle, dans ses fesses. Elle m’a dit qu’elle était à la fois impatiente de ça, et un peu angoissée aussi. Eh bé, elles ont beaucoup discuté, les miss ! Ça, c’est tout Marlène. Elle parle cash, sans se préoccuper des suites. — Bah, c’est unjoke entre nous pour l’instant. Mais bon, sait-on jamais. Ceci dit, vu qu’on n’arrête pas de faire l’amour depuis ce matin, je doute d’être assez en forme ce soir, tu sais…— Si tu veux, à l’occasion, tu pourras te masturber contre mon cul, elle m’a dit que tu lui avais déjà fait, et que c’était assez agréable. Moi, je n’ai jamais essayé, ce sera une première, non ?— Oui, euh bon, on verra. Je suis un peu flapi, là. Bon, on reprend le taf ?— Ok, je file sous la douche. Elle se relève du canapé, prends ses sous-vêtements et va dans la salle de douche. Pendant qu’elle se rince, je regarde son Sig Sauer. Massif, carré, ...
... belle arme. Tiens, comme moi, elle a chambré une munition. Heureusement, contrairement au Glock, le chien est rabattu. Le Glock a un percuteur interne, impossible de le libérer sauf à tirer. Ceci dit, la sécurité du Glock est située sur la queue de détente, il ne peut tirer que si on appuie sur la détente. Impossible autrement. La douche s’arrête. Je range le flingue, prends mon caleçon. Temps de prendre une douche aussi. Quelques minutes plus tard, après avoir réveillé Falco, nous reprenons notre ronde. C’est toujours l’effervescence. Nous allons sur la scène. Une petite trappe permet de regarder côté stade, sans ouvrir les doubles portes massives. C’est blindé de monde. On est à moins de 2 h du concert, et on ne voit plus l’herbe du stade tant il y a de monde. Les gradins, pareil ! Remplis ! Sans parler du brouhaha… impressionnant. Il faut quand même avoir de sacrées couilles pour monter sur une scène devant autant de personnes. Falco renifle à droite à gauche, mais sans résultat, vu qu’on a demandé à l’artificier du spectacle de mettre ses accessoire une demi-heure avant. Pas d’odeur d’explosif pour l’instant… Une bonne chose déjà. Tous les câblages sont en place, il ne reste plus que les charges pyrotechniques à poser et connecter. Nous descendons les marches côté cour. Amélie vient à notre rencontre. — Je vous cherchais. Marlène aimerait que vous alliez la rejoindre, tous les deux.— Ok, on y va. Merci Mélie. Au bout de l’arrière-scène, nous prenons le couloir. Arrivé ...