1. Le garde du corps - Fin


    Datte: 22/05/2019, Catégories: fh, ff, frousses, Collègues / Travail uniforme, amour, Oral policier,

    ... devant la porte, je jette un coup d’œil circulaire. À part le cerbère, personne, bien. Je frappe. — J’ouvre ! Bruit de serrure, le battant s’ouvre. Nous entrons dans la loge. — Alors, Florence, c’était bien ?— Top du top. Comme vous aviez dit, fort, puissant, mais pas violent. Et effectivement, il aime beaucoup mon cul. Vous aviez vu juste.— J’en étais sûre ! Et puis, il est gentil aussi. Bon, ce n’est pas une raison pour tenter de me le piquer, on est bien d’accord ? Il est à moi, et à personne d’autre !— Aucun problème, on est bien en phase.— Bon, H moins une et demie en gros, j’avais plus envie d’être seule. Toujours rien ?— Non, on a sécurisé au max, Flo et moi on sera en arrière-garde, la foule a étécheckée, les pylônes sont sécurisés… Plus, on ne peut pas. Tu as essayé le gilet pare-balles que je t’ai passé ce matin ?— Oui, mais il me serre trop. J’ai les seins écrasés dedans, et ma robe est trop ajustée pour la mettre avec. Et puis, vous êtes là pour me protéger, je vous fais confiance. De toute façon, je n’aurais pas pu chanter av… Badaboum ! Florence et moi nous retournons brutalement, arme au poing. Le porte-manteau est par terre, Falco rentre la queue entre ses pattes et se cache sous la table. On rengaine simultanément nos armes. Marlène éclate de rire. — Et dites, tirez pas sur mon toutou, le pauvre… Elle se lève, redresse le porte-manteau et le remet en place. Ensuite, elle se penche sous la table et caresse Falco. — Bon chien, ça. Ce n’est pas grave mon ...
    ... toutou. Tu es beau, toi… Falco remue la queue. — Bon. Vous êtes allé voir sur scène ?— Oui. On a jeté un œil sur le public, c’est archi-bourré.— Cool. Et les zycos ?— Tous là apparemment, en train de manger.— Oui, d’ailleurs, j’ai demandé à Diane de nous apporter de quoi grignoter. Elle ne devrait pas tarder. Faut que vous repreniez des forces… Mon HTC sonne. — Excusez-moi. Je sors de la loge, mais je reste devant la porte, au cas où. C’est François. — Oui ?— Bon, tout a été contrôlé, on a sécurisé au max. RAS, pas de trace d’Harold. On va tenter de le faire bouger, si jamais il écoute notre fréquence radio. De ton côté ?— On est avec la Diva, la fliquette et moi, on ne la lâche pas. Pendant le spectacle, on contrôlera ses arrières, comme prévu. Ce qui ne me plait pas trop, c’est que la zone est grande, et qu’on ne voit pas les portes d’accès de nos positions de blocage.— Écoute, fais au mieux, tous les gars sont en place, et on a dû revoir le dispositif suite à l’absence de Joël. Ok. Bon, je te laisse, je serais sur le toit du palais avec un tireur d’élite de la police. Je vais balayer en permanence la foule.— Ok. Bye. J’avise Diane qui arrive en poussant un chariot repas. Je vais l’aider. — Merci ! Alors, Capitaine, c’était bien, avec Miss Musclor ?— Gaffe, elle est dans la loge avec Marlène. Pourquoi dites-vous ça ?— Ben c’est une armoire, cette nana ! Vous avez vu ses épaules ? Ses cuisses ? On peut lui demander un coup de main pour déménager un piano, en tout cas !— Elle fait ...
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