1. A la découverte d'un monde inconnu. (9)


    Datte: 23/05/2019, Catégories: Hétéro

    Chapitre précédent Julie et Manu ont rencontré Jean-Mi, le prof de jiu-jitsu. Ils ont préparé le matériel pour réviser en vue de la rentrée scolaire : le français sera la rédaction des « TP » qu’ils vont réaliser. Manu, au bord du désespoir dû à l’absence de ses parents, trouve refuge sous l’aile bienveillante d’Alice ; elle leur a promis de les prendre avec elle dans son lit pour les câliner tous les deux. Ils vont prendre une douche que l’on qualifiera de « crapuleuse » avant d’aller se coucher. Chapitre 9 : Câlin à trois suite. Arrivée dans la chambre, Alice se place naturellement au milieu du lit, écarte les bras et accueille Manu et Julie, un de chaque côté. Elle leur caresse doucement le dos, le creux des reins, les fesses, des caresses relaxantes dont elle a le secret. Julie, parfaitement détendue, pose sa tête sur le sein de sa mère, prête à lécher le téton qui n’attend que ça. Elle prend la main de Manu posée sur le ventre d’Alice, se relâche complètement ; son érection à disparu. Alice leur parle doucement ; de la vie, d’elle, de lui. I il écoute, aborde tous les sujets qui le tracassent. Pendant ce temps, la main de Julie a fait visiter à celle de Manu le corps de sa mère ; toutes les parties accessibles ont été leur terrain de jeux. Contre sa cuisse, elle sent l’ardeur de Manu reprendre de la vigueur. Alice termine son monologue par ceci : — Ne t’inquiète pas, Manu, je n’ai qu’une parole : je ne te laisserai pas tomber. Ça va aller, mon petit Manu ? Elle sent ...
    ... les mains unies posées sur son ventre se serrer ; des larmes de bonheur viennent doucement couler sur ses seins. Ses jambes se font emprisonner ; les deux mains se lâchent et la caressent tout doucement. — Ça vous va comme cela ? s’informe-t-telle. Comme seule réponse, elle a deux regards remplis d’émotion accompagnés de deux petits « Oui », et deux corps venant se blottir comme des oisillons sous les ailes de leur mère. Julie prend l’initiative de la suite, ce qu’elles ont prévu. Leurs mains se séparent, cajolent le corps d’Alice qui les laisse lui donner du plaisir. Après quelques instant – combien de temps ont duré ces câlins, ils ne le savent pas – les deux jeunes lèvent la tête se regardent et s’embrassent langoureusement. Alice relâche son étreinte, se redresse et leur dit à voix basse : — Mettez-vous sur le dos ; fermez les yeux, et laissez-vous aller. Elle se retourne, s’assoit sur les talons entre eux, pose une main sur chacun et caresse les deux corps en même temps. Les doigts s’emmêlent dans les cheveux, passent sur les yeux, se dirigent vers les tétons, les pincent, les titillent, tournent autour. Descendent vers les cuisses, remontent jusqu’au nombril, en font le tour pour aller vers l’autre cuisse. Les respirations deviennent plus fortes, les corps ondulent ; de petits râles de plaisir se font entendre. Les doigts arrivent jusqu’aux pieds, remontent par l’intérieur des cuisses et arrivent d’un côté sur une foufoune trempée, de l’autre sur un phallus fièrement ...
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